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La nouvelle science des nombres

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
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La nouvelle science des nombres

Les vidéos

L'opération manquante...

Les vidéos
A l'ère du numérique
Le problème est simple comme la règle...
...et la solution est simple comme le compas
La droite est un cercle !
Vérité relative et vérité absolue
Retour à l'école primaire
Comme "Mademoiselle Dieu"
Le "proph de maths"
Science et avenir
"Science, lève-toi et marche !"

Toute chose existe

Comment la science devrait démarrer
"IL EXISTE..."
Repartons de 0...
Ce sont les "nuls" en maths qui vaient raison...
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L'opération manquante...

A l'ère du numérique

"Les nombres : ils possèdent les secrets de l'Univers", titrait un numéro spécial de la revue Science & Vie Junior. Nous allons parler de quelque chose qui fait partie de notre vie quotidienne : les nombres. Nous allons parler des nombres d'une manière très nouvelle, nous allons en TOUTE SIMPLICITE découvrir un grand problème qui se pose avec les nombres, une très grande et grave faille dans les sciences actuelles, et comment on peut résoudre ce problème avec une simplicité enfantine, à l'aide seulement d'un compas. Nous allons ensemble voir les bases de la Science Nouvelle, la science avec laquelle tout devient maintenant possible.

Il y a une très importante raison pour laquelle nous sommes tous concernés aujourd'hui par le problème des nombres que je vais aborder ici, pas seulement les matheux : Nous vivons à l'ère dite du numérique, à l'ère des nombres. Il y a beaucoup de choses que nous pouvons enfin comprendre aujourd"hui, qu'on ne pouvait pas comprendre il y a 2000 ans, et même 200 ans, et même seulement 20 ans ! Dans ce passé proche de nous, on aurait du mal à comprendre des déclarations comme : "Nous sommes des nombres" ou "Tout est nombre", qui sont celles de la Science Nouvelle...

(Lire plus de détails sur cette importante explication sur les nombres et l'ère du numérique avant de continuer)

Les nombres sont les objets fondamentaux des mathématiques et des sciences. Changer la conception des nombres c'est complètement changer la science ! Il ne faut pas changer pour changer, mais il faut changer s'il y a un problème, s'il y a une bonne raison de le faire. Et il y a en effet une très bonne raison, que vous allez découvrir maintenant, oui maintenant !

Si vous avez par exemple une machine à calculer (ou tout outil de calcul à portée de main), saisissez cet outil, s'il vous plaît, et tapez l'opération : 1 / 0 ("1 divisé par 0"), et demandez la réponse en tapant la touche "=". Notez bien ce que vous dit la machine. C'est sûr, elle vous délivre un message d'erreur ou d'impossibilité. Voilà le problème, très simple, très banal, que tout le monde peut voir aujourd'hui, très facilement. Et pourtant c'est un IMMENSE problème, qui rend beaucoup de choses impossibles, et qui résolu ouvre désormais toutes les portes. Ce problème nécessite de reprendre la science depuis le départ, il faut la "reprendre à 0", au plein sens de l'expression !

Cette simple opération 1 / 0 (dont on va beaucoup parler maintenant), est très fondamentale et d'une extrême importance. En effet, c'est du problème du Zéro et de l'Infini qu'il s'agit, avec toutes les implications scientifiques et technologiques, mais aussi philosophiques et théologiques ! Toutes les questions de l'Univers et de l'Existence sont dans cette simple opération 1 / 0. La science ne peut pas vraiment répondre à nos questions sur nos origines et nous dire où nous allons, elle ne peut pas vraiment faire la part entre le possible et l'impossible, si elle ne résout pas ce problème fondamental du Zéro et l'Infini. C'est-à-dire, aussi longtemps qu'on tapera sur une machine l'opération 1 / 0 et qu'on aura le genre de réponse dont je viens de parler. Entrons donc maintenant dans le vif du sujet...

Le problème est aussi simple à comprendre que la règle...

La règle et le compas... Voilà tout le problème, et voilà toute la solution ! L'IMPOSSIBLE appartient à la première, comme je vais l'expliquer, et le POSSIBLE appartient au second !

Actuellement, les nombres sont conçus comme étant des objets d'une droite appelée la Droite numérique. Autrement, dit, on voit les nombres comme les objets d'une grande règle. Dans cette conception, le nombre 0, vu géométriquement, est ce point :

Le nombre 1 est ce segment :

Le nombre 2 est ce segment :

Et ainsi de suite. Et le nombre 12 est ce segment :

Et l'ensemble de tous les nombres est donc cette Droite numérique, précisément cette Demi-Droite numérique, parce qu'on ne considère que les nombres positifs, qui vont de 0 à l'Infini :

On voit que le Zéro (ou 0) est une des extrémités de la droite (ici l'extrémité gauche) et que l'Infini (ou 1 / 0) est l'autre extrémité de la droite (ici l'extrémité droite). Dans cette conception des nombres, le Zéro (ou 0) et l'Infini (ou 1 / 0) sont séparés, chacun à un bout de la droite, et ils ne se rejoignent jamais ! Si on part de Zéro et que l'on va vers l'Infini, on s'éloigne à tout jamais du point de départ, et on ne revient jamais à Zéro ! Autrement dit, on ne peut jamais avoir l'égalité : 1 / 0 = 0, c'est-à-dire donc simplement : Infini = Zéro, ce qui serait la simple réponse à l'opération 1 / 0. On a devant les yeux la cause même de la dite impossibilité de diviser par 0, à savoir la conception des nombres comme des segments, et de l'ensemble des nombres comme une droite (ou une demi-droite si on ne considère que les nombres positifs).

(Lire plus de détails sur cette importante explication sur la division par 0 et l'introduction de la nouvelle vision des nombres avant de continuer)

Voici maintenant le changement radical qu'apporte la Science Nouvelle sur la conception des nombres. Ce n'est plus maintenant avec la règle qu'il faut décrire géométriquement les nombres, mais avec un compas. Il ne s'agit plus maintenant de la Droite numérique, mais d'un Cercle numérique, que j'appelle plus souvent le Cycle.

D'une manière générale, on parle de cycle quand on part d'une situation donnée et que l'on revient à la même situation. Avec la nouvelle notion, on fait les maths dans tout un nouveau sens, les maths qui sont aussi les autres sciences : la physique, la biologie, la psychologie, la logique, la philosophie, la théologie, etc. Il suffit de commencer à remarquer une chose à laquelle on n'avait sans doute pas prêté attention jusqu'ici, ou à laquelle on n'a pas accordé toute l'attention qu'elle méritait : c'est que le cycle est la loi générale de l'univers, le cycle est universel, il est partout, il suffit d'ouvrir les yeux et de réfléchir un peu pour se mettre à le trouver partout et à comprendre tout à coup que TOUT est une affaire de cycle !

Tout le monde sait par exemple que le jour est un cycle de 24 heures, qui est donc fait de deux cycles de 12 heures. Ce cycle de 24 heures correspond à une rotation physique de la terre sur elle-même. La terre est ronde, ce qui signifie qu'elle est un cycle, terme général donc qui englobe le cercle proprement dit, la sphère, l'ellipse, l'ellipsoïde, etc. Ce sont autant de formes géométrique de cette chose générale que j'appelle le cycle, et qui par définition (je le rappelle) est tout ce qui part d'une situation donnée et revient à la même situation. L'année est un cycle, qui correspond à la rotation physique de la terre autour du soleil. Et il y a le cycle des saisons. Les galaxies sont d'une nature cyclique, ainsi que l'univers tout entier, car tout tourne dans l'univers, tout a une forme géométrique fondamentalement cyclique (ou courbe), même quand apparemment c'est droit ou plat. Le temps est donc cyclique, l'espace est cyclique, la matière est cyclique, de l'infiniment grand à l'infiniment petit. C'est partout le cycle ! Dans l'infiniment petit, les électrons d'un atome tournent autour du noyau, une affaire de cycle donc. Et l'électronique (mot qui vient de "electron") et l'informatique, c'est une affaire de cycle ! La fréquence d'un microprocesseur (mesurée en hertz ou Hz) est le nombre de cycles de l'horloge du processeur par seconde. Et les calculs (ou opérations) se font par cycles, en informatique comme en maths. On se rend donc compte à quel point le cycle est universel. Et en fait, la notion de cycle commence même dans les nombres, dans ces objets fondamentaux des mathématiques et des sciences, dans ces objets qui détiennent les secrets même de l'Univers.

On ne se rendait pas compte, mais les nombres écrits dans le système décimal (le système courant) sont : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, etc. Si on observe cela, on verra que le système décimal est simplement un cycle 10, car il y a une certaine répétition tous les dix nombres. Par exemple, les nombres de 10 à 19 sont une manière de répéter les nombres de 0 à 9, et le "1" qu'on met devant signifie simplement qu'on a déjà fait 1 tour de cycle. Avec les nombres de 20 à 29, on reprend le même cycle de 0 à 9 (le cycle 10 donc), mais en précisant qu'on a déjà fait 2 tours de cycle. Et ainsi de suite. Tous les systèmes numériques, comme le système duodécimal (ou système à base 12) des babylonniens ou le système binaire (système à base 2) de l'informatique actuelle sont en fait des cycles numériques.

Et il y a une dernière chose très simple qui échappe à tous, et pour la voir maintenant, il suffit de considérer la liste des nombres : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ..., avec donc le 0 bien en tête, comme PREMIER nombre, donc comme le numéro 1 ! Voilà donc quelque chose de très étrange; et si on ne comprend pas cette chose, alors on ne peut pas vraiment dire qu'on sait ce que sont vraiment les nombres. Voici donc cette simple chose : Le PREMIER nombre n'est pas 1, comme par exemple les romains le concevaient, ce qui explique qu'ils n'ont pas inventé un symbole numérique pour dire "Rien" ou "Zéro". Pour eux donc comme pour d'autres civilisations, le "Rien" ou le "Vide" n'était pas un nombre, mais ils commençait à compter et à écrire les nombres avec le 1 ! On disait donc : I, II, III,..., comme l'écrivaient les romains. Mais depuis la découverte du 0, on compte maintenant en disant : 0, 1, 2, 3, .... Voilà donc ce 0 qui débarque et qui prend la place d 1 ! Le 1, relegué maintenant à la deuxième place, pousse le 2 à la troisième place, qui pousse à son tour le 3 à la quatrième place, etc. Comme dans une sorte de jeu de quilles, un jeu étrange initié par le 0. Mais que veut nous dire exactement le 0 ? Quel est ce curieux nombre qui est le 1 mais sans être le 1 puisqu'il est 0, et qui est le 0 mais sans être le 0, du fait de sa position de 1 ? Très simple, il veut nous délivrer le message suivant, qui est son secret même : 0 = 1 !

Ne pas comprendre cela, c'est ne pas comprendre le 0, c'est ne pas savoir ce que sont vraiment les nombres. Et on ne peut dire 0 = 1 qu'en ayant toute une nouvelle conception des nombres, celle du cycle ! C'est ce que les nombres veulent nous dire : "Nous sommes des cycles !", nous hurlent-ils aux oreilles. A nous de bien les entendre donc.

Bref, si on veut vraiment faire la science, si on veut vraiment comprendre les secrets de l'Univers, du Zéro à l'Infini, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, si on veut vraiment faire de la technologie pour laquelle plus rien n'est impossible, ce n'est pas la régle qu'il faut prendre pour commencer la science mais le COMPAS ! Cela veut dire que pour faire cette science, c'est sur un Cercle qu'il faut maintenant concevoir les nombres.

... et sa solution est aussi simple à comprendre que le compas

Dans la nouvelle conception des nombres, celle du compas, le nombre 0, vu géométriquement, est ce point, appelé le Cycle 0 :

Le nombre 1 est ce cercle, appelé le Cycle 1 :

Autrement dit, les deux bouts du segment 1 vu avec la règle se rejoignent pour transformer le segment en ce cercle ci-dessus, qui se carctérise par cette nouvelle égalité 0 = 1, l'égalité du Cycle 1. Avec cela commence tout une révolution scientifique ! C'est de la même manière que les deux bouts des autres segments se rejoindront pour faire les autres cycles, caractérisés chacun par son égalité. Ainsi, le nombre 2 est ce cercle, appelé le Cycle 2 :

Le nombre 3 est ce cercle, appelé le Cycle 3 :

Le nombre 4 est ce cercle, appelé le Cycle 4 :

Et ainsi de suite. Et le nombre 12 est ce cercle, appelé le Cycle 12 :

Ce cycle-là, on le connaît très bien, puisqu'il s'agit simplement du cycle dont un exemple concret est le cadran d'une horloge à aiguilles. On notera que pour le cycle des nombres, j'ai adopté le sens habituel des aiguilles d'une montre, qui est le sens contraire du sens trigonométrique conventionnel. Mais qu'on fasse tourner les nombres dans un sens ou dans l'autre, la logique est la même ! Et on notera aussi que chaque cycle (donc chaque nombre dans la nouvelle conception des nombres) se caractérise algébriquement par une égalité, qui ne peut pas avoir de sens dans la conception traditionnelle des nombres, sauf dans le cas de 0 ou du Cycle 0, où cette égalité est : 0 = 0. Toute la science actuelle, la théorie des équations en mathématiques, les équations de physiques, etc., fonctionne uniquement avec ce type d'égalité : 0 = 0. Toutes les équations qu'on écrit reviennent à dire des choses du genre : 0 = 0, 1 = 1, 2 = 2, 0.5 = 0.5, X = X, etc. C'est ce qui fait toute la pauvreté des sciences actuelles qui conçoivent les nombres avec la règle (la droite). Cela a pour conséquence qu'elles ne fonctionnent qu'avec un seul type d'égalité parmi l'infinité possible, elles sont en faite réduites au seul Cycle 0. C'est de cette prison très étroite qu'il faut les libérer maintenant, pour que la science fonctionne aussi avec les autres cycles, les autres égalités, donc d'autres types d'équations ignorés jusqu'ici.

Pour le nombre 1 (ou Cycle 1), on a l'égalité : 0 = 1, qui à elle seule donne le ton de toute la révolution conceptuelle : la révolution du Cycle ! Pour le nombre 2 (ou Cycle 2), on a l'égalité : 0 = 2. Pour le nombre 3 (ou Cycle 3), on a l'égalité : 0 = 3. Pour le nombre 4 (ou Cycle 4), on a l'égalité : 0 = 4. Pour le nombre 12 (ou Cycle 12), on a l'égalité : 0 = 12, etc. Et désormais, tous les nombres sont des objets d'un grand Cercle numérique, le cercle infini que voici, et qui est le Cycle dans toute sa majesté :

Il est obtenu en faisant donc simplement boucler sur elle-même la Droite numérique classique, que voici, en faisant simplement rejoindre ses deux extrémités :

Et voilà ! L'affaire est donc très simple à comprendre, et on conviendra que bien expliqué, règle et compas à la main, un enfant de l'école primaire peut comprendre cela ! Et il peut comprendre l'égalité : Zéro = Infini, et donc pourquoi : 1 / 0 = 0 ! Oui, il saura faire cette opération dite impossible, et qui pourtant est tout ce qu'il y a de plus facile et d'élémentaire ! Incroyable mais vrai, c'était aussi simple que cela !

La droite est un cercle !

Quand Einstein faisait sa deuxième théorie de la relativité, la relativité générale (la première est la relativité restreinte) il a dit une phrase étonnante, dont on n'a pas mesuré toute la portée, ni lui-même d'ailleurs. Il a dit une de ces choses géniales (comme d'habitude...), qui dépassent sa propre pensée, et qui est celle-ci : "Si vous avez une bonne vue et si vous regardez droit devant vous, vous verrez votre nuque".

C'est la courbure de l'Univers qu'Einstein exprimait ainsi à son époque, et plus précisément la courbure de la lumière ! La lumière se déplace en ligne droite, et c'est l'objet physique par excellence qui permet de définir physiquement la "droite". La nouveauté qu'apportait Einstein, c'est de dire que la trajectoire de la lumière n'apparaît droite que parce qu'on la considère sur une petite distance. Si on regarde cette trajectoire sur une grande distance, on découvre qu'elle se courbe, lentement mais surêrement ! Je prolonge aujourd'hui l'idée d'Einstein, je la généralise, je la porte à son summun, bien au-delà du seul cadre de la physique actuelle, mais en disant que c'est simplement la propriété profonde des nombres : le Cycle !

Tout est courbe, même ce qui semble être plat. Tout est un cycle, même ce qui semble être une droite, comme le montre le schéma suivant, qui est une démonstration plus parlante que mille discours :

Ce schéma montre que tout, du point (a) jusqu'à la droite (f), est un cycle (ou cercle). Le reste est une simple question de grandeur ou de petitesse du cycle, c'est tout. La grandeur d'un cycle est mesurée par son rayon, et sa petitesse est mesurée par l'inverse du rayon (la division de 1 par le rayon), qu'on appelle habituellement courbure. En allant de (a) à (f), on voit que plus le rayon du cycle est grand et plus sa courbure est petite, et cela veut dire que le cycle s'ouvre davantage, il s'aplatit et se rapproche de la droite, ici (f). Et en allant de (f) à (a), on voit que plus le rayon du cycle est petit et plus sa courbure est grande, et cela veut dire que le cycle se referme davantage, il se courbe et se rapproche du point, ici (a). Par conséquent, un point est simplement un cycle de rayon 0 et de courbure infinie, tandis qu'à son opposé la droite est un cycle de rayon infini et de courbure 0.

Il faut préciser que la notion de 0 et d'infini dont je parle dans la Science Nouvelle à un sens nouveau, plus riche et plus puissant que les mêmes mots tels qu'on les emploie dans les mathématiques et les sciences actuelles. Dans la nouvelle science, ces mots ont un sens très concret, très physique, très dynamique, très vivant; tandis que dans les sciences actuelles, ces mêmes mots ont un sens purement mathématique (dans le plus mauvais sens du terme), un sens très abstrait et coupé de toute réalité physique, un sens très statique, bref un sens très mort ! On se défendra actuellement en disant que les concepts mathématiques sont des concepts "idéaux", mais en réalité ce sont simplement des chimères, des objets vraiment coupés de toute expérience et réalité concrète !

Par exemple, les mathématiques actuelles conçoivent le point comme un objet sans dimension (dimension nulle ou 0), par exemple comme un cercle sans rayon (ou rayon nul ou 0). Et ceci est bien-entendu en étroite relation avec la notion de 0 conçu comme n'ayant aucune valeur ou quantité, si petite soit-elle. C'est 0 et absolument 0, c'est tout, et c'est comme cela que l'on conçoit les choses actuellement.

Mais la réalité, l'Univers, nous enseigne tout autre chose, que chacun peut vérifier très facilement. Le point réel n'est pas un pur objet de la pensée mais quelque chose de toujours concret ! Tout le monde sait que dessiner un point, si petit soit-il, c'est toujours dessiner quelque chose de concret, qui a toujours une certaine dimension. On l'appelle "point" pour dire simplement que l'on considère que l'objet en question est très petit, "infiniment petit". Cela suppose que l'on compare toujours cet objet à quelque chose d'autre, qui donne un sens au mot "petit" ou "infiniment petit".

Vue de la terre par exemple, une étoile lointaine, à des années-lumières d'ici, est pour nous un "point" dans le ciel. Mais il suffit de s'en approcher, de changer donc d'échelle et de point de vue, pour découvrir l'IMMENSE chose qu'est ce que nous appelons un "point" ! Vu à une autre échelle donc, ce "point" est une chose d'une grandeur terrifiante !, cet objet sans dimension a une immense dimension, ce 0 est une grande valeur, une grande quantité ! Et à l'inverse, vue de cette étoile très lointaine, notre planète terre est moins qu'un "point", elle est carrément du néant ! Et pourtant ce néant, ce vide, ce rien, ce point, ce 0, c'est tout un monde, le nôtre ! Moralité à bien retenir à partir de maintenant : le néant est toujours aussi une existence, le vide est toujours aussi un plein, le rien est toujours aussi quelque chose, le point est toujours aussi un monde, le 0 est toujours aussi une quantité ! On l'appelle 0 (ou point ou rien ou vide ou néant) simplement pour dire qu'il est très petit comparé à une certaine autre chose.

C'est la même remarque au sujet de cet autre important concept mathématique appelé "droite". Théoriquement, il s'agit d'une chose de longueur infinie et d'épaisseur 0. Mais qu'on essaie concrètement de tracer une droite, et on verra qu'on ne trace toujours qu'un segment, quelque chose, même très grand, qui a toujours une longueur finie, une longeur réelle ! Et il suffit de prendre un microscope ou une simple loupe, pour s'apercevoir que l'épaisseur 0 en question est toujours une certaine dimension ! Une mathématique qui se respecte ne doit donc pas nous abreuver de chimères coupées de toute réalité concrète, elle ne doit pas contredire les vérités fondamentales de l'Univers, mais elle doit être en parfaite harmonie avec l'Univers et ce qu'il nous apprend. Cela veut dire qu'elle doit donner tout un autre sens aux mots comme "point", "droite", "espace", etc., bref elle doit donner tout un autre sens aux mots comme "zéro" " et "infini", elle doit avoir tout une autre conception des nombres, une conception concrète, physique, dynamique, vivante !

Le mot "infini" qui a un sens concret et dynaimque doit traduire simplement cette réalité : on a toujours un nombre supérieur à tout nombre qu'on se donne à l'avance, si grand soit-il. Un nombre "infini" dans ce sens-là est toujours aussi un nombre fini. Il est un fini qui grandit sans cesse, car dès qu'on lui fixe une valeur, il finit toujours par dépasser cette valeur. Et si on fixe une nouvelle valeur qu'on appelle "infini" (ce qui est une vérité valable dans ce cadre-là), il existe toujours une autre valeur au-delà de cet "infini", qui transforme cette vérité en fausseté, et qui instaure une autre vérité, en ce sens qu'elle est le nouvel "infini". Et un autre "infini" sera la fin de celui-ci, et ainsi de suite. C'est cela la conception dynamique de l'infini. L'expression qui conviendrait le mieux pour parler de l'infini dans ce sens dynamique est "infiniment grand", et même mieux : "indéfiniment grand" ou "perpétuellement grand" !

Et c'est exactement la même chose avec le mot "zéro", mais simplement dans le sens inverse du mot "infini". Par "zéro" il faut simplement entendre qu'on a toujours un nombre inférieur à tout nombre qu'on se donne à l'avance, si petit soit-il. Par conséquent, le "zéro" dans le nouveau sens du terme est est toujours une quantité (comme je l'ai déjà expliqué), il peut même être à son niveau quelque chose de très grand ! Mais on l'appelle "zéro" juste pour dire que par rapport à un certain autre nombre, il est très petit, "infiniment petit", "indéfiniment petit", "perpétuellement petit".

Un microbe par exemple est très grand comparé à un atome, mais n'est rien comparé à un caillou, qui n'est rien comparé à une montagne, qui n'est rien comparé à la planète, qui n'est rien comparé au soleil, qui n'est rien comparé à la galaxie, qui n'est rien comparée à l'univers, etc. Et une particule comme l'électron est très petite comparée à un atome, et il existe toujours quelque d'encore plus petit que l'électron, et ainsi de suite. Toute chose est grande, toute chose est petite, toute chose est un "infini", et toute chose est un "zéro". Tout dépend par rapport à quoi on compare cette chose. Et toute chose est une quantité, elle a une valeur, elle est un nombre !

Voilà une toute nouvelle conception des nombres, du zéro à l'infini. Cette conception est celle du Cycle, qui va du point (a) à la droite (f). C'est avec le cycle que l'on découvre enfin la vraie nature des nombres, que les conceptions géométriques ne sont plus des chimères, mais correspondent à la réalité concrète, et sont en parfait accord avec l'Univers ! L'Univers nous apprend qu'un point a toujours une dimension, donc que le 0 est toujours aussi une certaine quantité, par exemple aussi 1 ! On ne peut jamais dire 0 = 1 avec la droite telle qu'on la conçoit actuellement, mais c'est avec la droite en tant que Cycle 1 qu'on peut le dire, car l'égalité 0 = 1 est l'expression de ce cycle. On fonctionne ainsi avec le 0 qui est toujours quelque chose (qui est 1 par exemple), avec le point qui a toujours aussi une dimension (une dimension 1) par exemple. C'est la raison pour laquelle avec le cycle on sait maintenant diviser par 0, car on sait diviser par 0 qui est quelque chose (qui est par exemple aussi 1), et pas par 0 qui n'est rien, que n'est que 0 ! Il s'agit-là d'une très mauvaise conception du 0 (celle de la Droite numérique), qui induit aussi une très mauvaise conception de l'infini, son inverse. Et maintenant, que l'on parle du point (a), du cercle (b) à (e), ou de la droite (f), il ne faut jamais perdre de vue qu'on parle toujours d'un cercle ou cycle, caractérisé par une égalité de la forme : 0 = X, c'est-à-dire : 0 = 0, 0 = 1, 0 = 2, 0 = 3, etc., jusqu'au dernier : 0 = 1/0 ou Zéro = Infini.

Le propre d'un Cycle est qu'à la fin on revient au commencement, sinon on ne parle pas de Cycle. Cette égalité générale qui caractérise cette notion de Cycle, est celle que j'exprime souvent : Alpha = Oméga ou Commencement = Fin. Le Cycle 4 s'écrit 0 = 4, mais on parle du même cycle si l'on dit par exemple : 1 = 5, 2 = 6, 3 = 7, 15 = 19, 100 = 104, ou 1267 = 1271, etc., bref chaque fois qu'il y a une différence de 4 entre le nombre du commencement (l'Alpha) et le nombre de fin (l'Oméga). L'expression fondamentale d'un cycle consiste à appeler 0 le nombre qui est l'Alpha. Par exemple, dans l'écriture 15 = 19, si j'appelle 0 le 15, alors le 19 devient le 4, et donc dire 15 = 19 c'est dire 0 = 4, qui est l'expression fondamentale du Cycle 4. C'est à nous de décider ce que nous appelons le 0. Cela ne veut pas dire qu'il s'agit du 0 dans l'absolu (comme on le conçoit avec la droite), mais qu'il s'agit simplement d'un point de départ, du commencement d'un cycle donné. Pour dire : "Je commence par 15", j'écris simplement 0 = 15, et le Cycle 15 à lui seul signifie cette phrase, c'est lui qui me permet dans la vie de commencer quelque chose par 15. Et si je précise ensuite : "Je finis par 19", cela sous-entend là le Cycle 19, qui s'écrit : 0 = 19. Et les deux cycles me définissent un cycle qui commence à 15 et finit à 19, ce qui est le cycle 4.

Chaque fois qu'on parle de nombres, on parle donc sans le savoir le langage des cycles, car c'est ce que les nombres sont fondamentalement, des cycles ! Chaque fois qu'on parle d'un commencement et d'une fin, on définit en réalité un cycle. Un segment par exemple est un cycle, et la longueur du segment est obtenue en faisant la différence entre le nombre qui est son commencement et le nombre qui est sa fin, par exemple 15 et 19. Par défaut, le nombre du commencement est le 0, c'est le sens le plus profond de ce mot. Cela indique simplement le nombre par lequel on commence, et on l'appelle le 0. Cela ne veut pas dire qu'il 0 ou rien dans l'absolu, mais il est toujours aussi un certain nombre donné. Ignorer tout cela c'est ignorer les vrais secrets des nombres. C'est pourquoi la conception actuelle des nombres comme des segments (et plus généralement des nombres comme des objets de la Droite numérique) est mauvaise, car on ne voit pas qu'on parle fondamentalement de cycles !

Le plus étonnant est qu'on utilise actuellement couramment le cycle, mais sans faire la science tout entière avec cette puissante et splendide notion, sans voir que les nombres et toute chose sont des cycles. Tout le monde connaît par exemple le cycle de la semaine, qui est simplement un Cycle 7 : dimanche (0), lundi (1), mardi (2), mercredi (3), jeudi (4), vendredi (5), samedi (6), dimanche (7), lundi (8), mardi (9), etc. Le jour 0 et le jour 7 sont le même jour du cycle, c'est-à-dire dimanche, ce qui s'écrit : 0 = 7. Mais la même semaine va de lundi au lundi suivant, ce qui fait que ce même Cycle 7 s'écrit : 1 = 8. Et si on prend la semaine du mardi au mardi suivant, ce même cycle s'écrit : 2 = 9, etc. Voilà un exemple simple et banal de raisonnement avec le cycle, de fonctionnement avec ce que j'appelle la Logique de Cycle.

Bien que le cycle soit si banal et courant, on ne réalise pas que toute la science, toute la conception des nombres, toute la géométrie, doit être selon cette logique simple. Mais comprendre que TOUT est un cycle est d'une importance capitale, car c'est le point crucial de la Science Nouvelle, la nouvelle vision des choses que cette science est. Cela permet de comprendre que même quand on place les nombres sur une droite (comme l'actuelle Droite numérique), on les place en réalité sur un cercle (le Cercle numérique ou Cycle). On parle habituellement de droite, tout simplement parce qu'on ne trace jamais une droite entièrement, et on suppose qu'elle reste toujours droite indéfiniment. Mais la droite se courbe toujours, lentement mais sûrement. Plus le rayon du cercle est grand et moins on se rend compte de la courbure, et on appelle ce cercle une droite, comme ici (f).

Vérité relative et vérité absolue

Une autre chose extrêmement importante, qui découle de ce qui précède : la notion de vérité scientifique change complètement quand on passe de la science faite avec les nombres sur la Droite numérique à la science avec les nombres sur le Cercle numérique. La notion de vrai et de faux, de possible et d'impossible, se trouve complètement bouleversée ! Ce que l'on peut considérer comme seule vérité scientifique si on ne voit le monde qu'à travers la droite (c'est-à-dire les nombres que comme des objets d'une droite) peut pourtant ne pas être toute la vérité scientifique, donc peut être en ce sens-là une fausseté si on s'y réduit. Et à l'inverse, une chose qui (selon la même vision de droite) est considérée comme une fausseté ou une impossibilité, peut pourtant être une vérité scientifique, au-delà de toute apparence et évidence ! Pour commencer à comprendre cela, il suffit de prendre l'exemple de la terre, et des vérités et des erreurs qu'on peut être amené à exprimer sur elle.

La terre nous paraît plate pour nous qui marchons à sa surface. C'est la vérité qui s'impose à nous quand nous regardons par exemple un terrain de foot. Supposons par exemple que ce terrain soit sur l'équateur, et que celui-ci le traverse dans le sens de la longueur, d'un but à l'autre :

Vu à l'échelle du terrain de foot, le cercle de l'équateur paraît être une droite. Si quelqu'un part d'un point 0 du terrain (par exemple le centre du terrain) et marche le long de ce qui est pour lui une droite, il s'éloigne de 0, et il peut alors se dire : "Plus je marche, plus je suis loin de 0". C'est cela la vérité sur une droite : en allant toujours dans le même sens ou direction, on s'éloigne toujours d'un point donné, sans jamais y revenir. La phrase : "Plus je marche, plus je suis loin de 0" et son contraire : "Plus je marche, plus je suis près de 0", ne peuvent jamais être vraies en même temps sur une droite, si on marche sur cette droite toujours dans le même sens. Dire que les deux phrases sont vraies à la fois est ce qu'on appelle une contradiction, une antinomie ou un paradoxe dans la logique actuelle. Autrement dit, la logique et la science actuelles ne laissent aucune place à des phrases du genre : "Plus je marche, plus je suis loin de 0, et plus je marche, plus je suis près de 0"; ou : "Plus nous sommes loin l'un de l'autre, plus nous sommes près loin de l'autre, et plus nous sommes loin dl'un de l'autre, plus nous sommes près l'un de l'autre"; ou : "Si je gagne la partie, alors je perds la partie, et si je perds la partie, alors je gagne la partie"; ou : "Si a appartient à b, alors a n'appartient pas à b; et si a n'appartient pas à b, alors a appartient à b", ou : "S'il est impossible d'aller plus vite que la lumière, alors il est possible d'aller plus vite que la lumière; et s'il est possible d'aller plus vite que la lumière, alors il est impossible d'aller plus vite que la lumière"; ou : "Si Dieu existe alors Dieu n'existe pas; et si Dieu n'existe pas, alors Dieu existe"; ou : "0 est différent de 1 et 0 est égal à 1"; ou : "3 est plus petit que 7 et 3 est plus grand que 7"; etc.

Vous avez compris, ce sont le genre de phrases qu'on appelle habituellement une contradiction, une antinomie ou un paradoxe. En effet, cela consiste à chaque fois à dire une chose et son contraire ! La science actuelle ne laisse aucune place à des phrases de ce genre, car pour elle, une chose et son contraire ne peuvent pas être vraies à la fois. Cette logique-là, cette manière de raisonner et de voir la vérité, est ce que j'appelle la Logique de Droite, car justement on voit la vérité comme quelqu'un qui marcherait le long de l'équateur, qu'il perçoit comme une droite. C'est vrai qu'il est sur une droite, et c'est vrai que la terre est plate. Mais il faut préciser que cette vérité reste locale, limitée à une petite échelle, à un certain contexte, comme par exemple ce terrain de foot. Cette vérité est donc relative à ce contexte-là, et elle peut changer, si on voit les choses au-delà de ce contexte, En effet, la terre vue à une plus grande échelle, dans un contexte plus large, est ronde, elle est une sphère, bref elle est un cycle. Si n'y avait pas les obstacles (les montagnes, les précipices, les océans, les villes, les bâtiments, etc.), et si notre personnage qui marche sur l'équateur va assez loin, il aura la surprise de revenir au point 0, qu'il croyait avoir définitivement quitté ! Car plus il s'éloignait de ce point derrière lui, plus il s'en rapprochait devant lui, de sorte que la phrase apparemment contradictoire : "Plus je marche, plus je suis loin de 0, et plus je marche, plus je suis près de 0" (ou simplement : "Plus je suis loin et plus je suis près, et plus je suis près et plus je suis loin") est une vérité ! C'est le cycle qui rend possible ce miracle, qui transforme ce qui est appelé contradiction ou antinomie ou paradoxe en vérité scientifique.

Voici un deuxième exemple qui montre comment le cycle change complètement la notion d'infériorité et de supériorité. Considérons la situation suivante sur une Droite numérique :

Sur la droite, le nombre a est inférieur au nombre b, et on écrit : a < b. C'est la seule vérité scientifique, qui ne laisse pas du tout la place à son contraire, à savoir : b < a, c'est-à-dire b inférieur à a. Actuellement, si dans un raisonnement mathématique on aboutit à la conclusion que a < b et b < a sont vrais à la fois, on appelle cela une contradiction ou un paradoxe. Il en résulte que dans une science avec les nombres conçus comme les objets d'une Droite numérique, si on a deux nombres a et b, si les deux nombres sont différents (comme on le voit sur cette figure), ils ne peuvent jamais être égaux aussi. Et si on dit que a < b (comme c'est aussi le cas sur cette figure), alors on ne doit pas dire aussi que b < a. Les conséquence de cette limitation logique sont immenses. Par exemple, si Einstein a démontré qu'il est impossible de voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière (qu'on ne peut donc voyager qu'à une vitesse inférieure), il ne faut surtout pas affirmer qu'on peut voyager à une vitesse supérieure à celle de la lumière, sinon on contredit la science. Si la paléontologie date un ossement à 3 millions d'années, ça ne peut pas être aussi 5 000 ans. La conception du temps est comme cette droite numérique, elle est linéiare (passé-présent-futur). Si un événement a est avant un événement b, on ne peut jamais dire aussi que b est avant a. C'est donc dire toute l'importance de cette question d'infériorité et de supériorité. Changer de conception c'est tout simplement complètement bouleverser la science actuelle et sa notion de vérité scientifique. C'est l'une des raison pour laquelle cette affaire de droite et de cycle n'est pas du tout une mince affaire ! La question est : si on a la vérité a < b, peut-on aussi avoir comme vérité b < a ? Une autre façon de poser la même question est : si a et b sont différents, peuvent-ils être égaux à la fois aussi ? Non ! répond catégoriquement la Droite numérique. Et que dit alors le Cercle numérique ? Ceci :

On a la vérité : a < b comme sur la droite, car cette fois-ci on peut plus dire que c'est la seule vérité possible. En effet, qu'on imagine par exemple a et b comme étant des coureurs qui font une course, et qui sont partis de 0. Sur une droite, cette position appelle une seule conclusion : b a parcouru une plus grande distance que a, ce qu'on écrit : a < b. Mais sur le cycle, ceci n'est pas la seule conclusion possible, car il y a aussi la place pour la vérité contraire, à savoir b < a ! En effet, b peut n'avoir parcouru que cette distance visible depuis le départ, tandis que a peut avoir déjà fait un tour complet pour se retrouver maintenant derrière b. Il est derrière b, ce qui saute aux yeux, et pourtant il est aussi devant b, ce qui ne saute pas du tout aux yeux ! Sur le cycle donc, il ne faut pas s'arrêter à la vérité évidente, du genre : "Le terrain de foot est plat" ou "a est plus petit que b" ou "a est derrière b". Celle-ci cache toujours la vérité complètement contraire ! Avec les nombres conçus comme les objets d'un cycle, tout énoncé est vrai en même temps que son contraire ! Selon le contexte où l'on se place, le point de vue où l'on se place, l'échelle où l'on se trouve, les éléments pris en considération, etc., une des vérités est masquée au détriment de l'autre. Une des vérités est apparente, l'autre est potentielle. Une des vérités est évidente, l'autre est cachée. Et quand on fait la science avec les nombres conçus comme les objets d'une droite, les vérités les plus importantes et les plus grandioses sont carrément niées ! Mais dans l'absolu, tout est vrai, tout est vérité scientifique, même les plus invraissemblables, même les plus impossibles ! C'est le Cycle qui permet de s'en rendre compte.

La Logique de Droite (les raisonnements et la science faits avec les nombres considérés comme des objets d'une droite) ne donne accès qu'aux vérités relatives, qui ne sont valables que dans un contexte donné. Quand on n'est pas conscient de ce contexte et des limites de ces vérités, on les prend pour des vérités absolues, qui ne laissent aucunement la place à leurs contraires ! C'est la grave erreur que commet souvent la science actuelle, et ses vérités martelées sur la cosmologie, sur l'origine de l'univers, sur l'origine de la vie, sur l'histoire de l'homme et son avenir, etc. Elles sont présentées comme les seules vérités scientifiques et la seule vision des choses qui tienne, et les contester ou dire autre chose c'est ne pas faire la science, pense-t-on ! Mais voir les nombres selon la Droite n'est pas la seule vision des choses, car il y a aussi la vision selon le Cercle ou Cycle. Et qui plus est, c'est cette vision qui donne accès à toutes les vérités, donc à la vérité absolue, à la science absolue !

Sans cela, la vérité est vraiment relative, et seulement que cela, comme le fait par exemple de dire que la terre est plate parce qu'on constate qu'un terrain de foot est plat. Voir la vérité de l'univers à travers la droite ou le plat est ce qu'on appelle aussi la géométrie euclidienne. Avec Einstein, on a commencé à comprendre que c'est avec une géométrie courbe (une géométrie non euclidienne) qu'il faut étudier l'univers pour espérer percer ses secrets les plus profonds. La science a fait alors un grand pas avec sa théorie de la relativité. Mais cette science souffrait encore de graves lacunes, que même Einstein n'a jamais soupçonnées. Il a fait sa physique et établi ses équations avec quelque chose de frelaté qu'il ne faut pas chercher dans la physique mais dans les fondements mêmes des mathématiques, qui servent à faire les autres sciences, la physique en particulier. Cette chose frelatée est simplement que l'on conçoit les nombres comme les objets d'une Droite numérique, au lieu de les voir comme les objets d'un Cercle numérique. C'est là où on fait une science tout entière courbe, tout entière non euclidienne, tout entière cyclique !

Voici encore un exemple qui montre les lacunes de la science faite avec une conception linéaire des nombres (avec les nombres placés sur une droite), qui montre comment la science devient plus féconde et plus puissante avec la conception cyclique des nombres (avec les nombres placés sur un cercle). La vérité scientifique est limitée et relative dans le premier cas, et elle ne connaît plus de limite et devient absolue dans le second. L'exemple que je présenter maintenant concerne les nombres négatifs, et leur relation avec les nombres positifs. Il découle en fait de ce qui précède, de la notion d'infériorité et de supériorité qui change complètement maintenant avec le cycle. Avant, pour deux nombres différents a et b, seul l'un des deux énoncés a < b et b < a était vrai, mais pas les deux ! Ainsi donc, on n'avait que la moitié de la vérité scientifique, et il manquait toujours l'autre moitié, ce que j'appelle l'ALTER vérité ou l'AUTRE vérité, et que la logique actuelle qualifie de NON vérité. Dans l'actuelle logique, par exemple 3 < 7 est la seule vérité, et 7 < 3 est alors une NON vérité. Mais maintenant, 7 < 3 est AUSSI une vérité scientifique, cet énoncé est l'AUTRE vérité, l'ALTER vérité. Il en résulte un changement tout aussi radical dans la conception des nombres négatifs, notion très importante en science. Dire qu'un nombre a est négatif c'est dire simplement que a est inférieur à 0 ou est avant 0, ce qu'on écrit : a < 0. Actuellement, on dira que 0 < a (ou a > 0) est une NON vérité, car un nombre (mis à part si c'est 0), ne peut pas être à la fois positif et négatif. Soit c'est l'un soit c'est l'autre, et si on dit l'un des deux, alors l'autre est la NON vérité. Mais maintenant avec le cycle, l'autre devient l'AUTRE vérité, l'ALTER vérité. Voyons comment cela s'explique avec le Cycle 12 par exemple :

 

On voit avec ce cycle que tous les nombres sont postifs, et apparemment on ne voit pas les nombres négatifs. Apparemment seulement, car ils sont cachés derrière les nombres postifs qu'on voit sur la figure. Le cycle a la propriété magique de faire exister des choses dont on ne voit pas comment ils peuvent exister ! Il a la propriété de rendre possible l'impossible, comme ici une fois encore. Ici, du fait qu'on a un cycle, le nombre 11 par exemple est à une unité AVANT le 0. Autrement dit, le nombre positif 11 est aussi le nombre négatif -1 ! Le nombre 10 est alors le nombre négatif -2, 9 est -3, et ainsi de suite jusqu'à 0, qu'on découvre que c'est aussi -12 ! Ainsi donc, avec le Cycle 12, les nombres -12, 0 et 12 sont le même nombre. Avec le cycle donc, les nombres sont positifs dans un sens du parcours du cycle. Et les mêmes nombres sont négatifs dans l'AUTRE sens du parcours du cycle. Mais positifs ou négatifs, ils sont fondamentalement positifs. Ainsi donc, avec le cycle, les énoncés a < 0 et a > 0 sont tous les deux vrais, ce qui est inconcevable avec la droite ! Sur la droite, seul l'un des deux doit être vrai, et on crie à la contradiction, à l'antinomie et au paradoxe quand un énoncé et son contraire sont vrais à la fois. Mais c'est simplement parce qu'on raisonne mal, on fait la science avec une mauvaise logique, une logique limitée, à savoir la Logique de Droite ou Logique de Non, qui ne donne accès qu'à la moitié de la vérité scientifique, l'AUTRE moitié étant déclarée NON vérité et jetée à la poubelle. Quel gâchis !

Et le pire est que cette AUTRE moitié est la meilleure. En effet, c'est dans cette seconde moitié que se trouve... Dieu ! Il faut donc faire les poubelles des sciences actuelles pour y récupérer Dieu, cette chose très importante qu'elles y ont jetée. La première moitié des vérités scientifiques, celle sans Dieu (donc les vérités des sciences actuelles), est celle des vérités relatives, qui ne sont valides que dans des contextes restreints, comme le fait de dire par exemple qu'un terrain de foot est plat ou que la terre est plate. Et la seconde moitié des vérités scientifiques, celle avec Dieu, est celle des vérités absolues, qui sont plus générales, qui sont toujours vraies, comme le fait de dire par exemple qu'un terrain de foot est rond ou que la terre est ronde. Celles-là semblent fausses à petite échelle ou dans des contextes restreints, et pourtant ce sont les vérités absolues, qui commencent à apparaître quand on s'échappe des contextes restreints et qu'on commence à prendre du recul pour avoir une vision large de la question. Les vérités absolues ne sont vraiment absolues et meilleures que si elles englobent les vérités relatives comme sous-vérités, et non pas de les rejeter ! C'est ainsi que tout ce qu'on peut dire est finalement une vérité, soit relative soit absolue, soit manifeste soit potentielle. Si on ne retient que les vérités absolues en rejettant les relatives, sous prétexte que les absolues sont les meilleures, on se retrouverait tout simplement avec le même problème, avec la même Logique de Non mais dans l'autre sens.

Par exemple, celui qui ne vivrait qu'à la surface de la terre ne voit que des terrains plats (des plaines), des collines, des montagnes, des vallées, etc., bref le relief. Ce sont les vérités relatives, les vérités contextuelles. Il commettrait une erreur en ignorant que vue de la lune, la terre est ronde, c'est un globe sans relief, c'est un cycle. Mais celui qui ne vivrait que sur la lune ne verrait que ce globe sans relief, et il commettrait la même erreur en ignorant ce relief, ainsi que la réalité qu'est le plat. Ce qui est relatif dans un sens est absolu dans un autre sens, et vice-versa. Le mot relatif seul ne veut plus rien dire, là où on ne parle jamais d'absolu, comme dans la phrase célèbre : "Tout est relatif", quand elle exclut l'ALTER vérité (comme on le fait habituellement), à savoir aussi : "Tout est absolu". De même, le mot absolu seul ne veut plus rien dire, là où on ne parle pas aussi de relatif. C'est comme si on disait :"Tout est grand" avec l'idée "Rien n'est petit", ou : "Tout est petit" avec l'idée "Rien n'est grand". Que veut dire le mot grand sans le mot petit, et que veut dire le mot petit sans le mot grand ? On n'énonce vraiment une vérité absolue que quand on dit "Tout est grand et Tout est petit".

Ceci est est très général, c'est valable pour tout couple de notions opposées, de notions contraires. On avait l'habitude de raisonner dans une logique où l'Un exclut l'Autre, où seul l'Un peut être vrai. C'est cela la Logique de Droite ou Logique de Non. Mais maintenant, il faut s'habituer à raisonner dans une logique où l'Un inclut toujours l'Autre, où l'Un et l'Autre sont toujours vrais. Tout dépend du point de vue où l'on se place. Cette nouvelle logique est la Logique de Cycle ou la Logique d'Alter. Dans cette logique, toute vérité laisse toujours la place à l'ALTER vérité, ce qu'on appelle actuellement son contraire ! La notion de vérité, la logique, la science, change complètement quand on comprend enfin que les nombres sont des objets d'un Cercle numérique, quand bien même ils sont sur une Droite numérique ! En effet, la droite, malgré les apparences, est toujours aussi un cercle. Et un cercle, malgré les apparences, est aussi une droite. En effet, tout est cycle, même la droite ! et tout est droite, même le cycle !

Retour à l'école primaire

Il est donc question ici d'une toute nouvelle manière de faire la science, de voir les choses. Ce dont il est question ici, tout le monde peut le comprendre, de l'élite au citoyen lambda, du savant au commun des mortels. Je reprends les choses à la base même. Je reviens à la petite école, à notre enfance, là où nous avons commencé à acquérir les bases de ce qu'on appelle la science. Je reviens à l'époque où nous avons appris l'alphabet et à dire : A, B, C, D, E, F, G, H, ... , à compter et à dire : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, .... Et là où nous avons commencé à manier la règle et le compas.

A la petite école, nous avons appris les bases du calcul, nous avons appris à faire les opérations élémentaires de l'arithmétique : l'addition (+), la soustraction (-), la multiplication (x), et la division (/). Nous avons appris une chose simple, à savoir que ces quatre opérations élémentaires vont par paires, l'addition avec la soustraction qui est son inverse, et la multiplication avec la division qui est son inverse. Jusque là tout va bien. Mais c'est maintenant que le problème commence, quand il s'agit par exemple de faire les quatre opérations élémentaires que je viens de rappeler, avec comme premier opérande 1 et comme second opérande 0. Les quatre opérations sont donc : 1 + 0 = 1 ; 1 - 0 = 1 ; 1 x 0 = 0 ; et ... et 1 / 0 = ... ? Et on nous a appris que non seulement celle-là ne peut pas être aussi simple que les autres, mais, pire, elle serait carrément impossible !

Voilà donc le problème dans toute sa majesté, et il nous faut maintenant progressivement l'approfondir pour comprendre tout le handicap scientifique qui a résulté de cette opération manquante, et aussi approfondir la solution pour comprendre tout ce qui va changer à partir de maintenant et les nouvelles perspectives que cette solution nous offre. Je n'ai pas pris comme opérandes 0 et 1 pour rien, car ce sont simplement les deux premiers nombres, les deux premiers gènes de l'arithmétique et de la science. En informatique, ce sont aussi les deux premières unités d'information appelées bits, donc les éléments de base du numérique et de la technologie. Savoir faire l'opération 1 / 0 changera considérablement la technologie dans un proche futur, à commencer par le fait que les machines n'afficheront plus un message d'erreur ou d'impossibilité quand on fera par exemple 1 / 0 !

L'addition et la multiplication sont les deux opérations fondamentales de l'arithmétique et de l'algèbre, qui sont deux domaines fondamentaux des mathématiques, qui sont une science fondamentale dans les sciences. Et 0 est ce qu'on appelle en algèbre l'"élément neutre pour l'addition", et 1 est l'"élément neutre pour la multiplication". Tout l'édifice scientifique part donc des bases que je suis en train d'examiner avec vous. Et pour que vous m'accompagniez dans cette entreprise de fondation de la Science Nouvelle, vous n'avez pas besoin d'être un grand matheux, puisque je repars des notions que nous avons tous apprises à la petite école, les nombres (en commençant par 0 et 1), et les quatre opérations élémentaires de l'arithmétique.

Comme "Mademoiselle Dieu"

Un des deux piliers de la science actuelle, la multiplication, est défectueux, car son opération inverse (la division) a une grave lacune, la division ne se fait pas avec 0. Du coup le 0 ne tourne pas bien rond, parce qu'il manque une très importante relation avec son inverse, l'infini, relation qui est : Zéro = Infini. Et pour la même raison, l'Infini dans les sciences actuelles est une très mauvaise notion, car l'Infini est séparé de 0. Vous ne le saviez pas, et même des spécialistes, ceux qui ont fait la science actuelle, n'avaient pas vraiment conscience de la gravité du problème. Les physiciens par exemple, utilisent les mathématiques pour faire leur théories pour percer les secrets de l'Univers et de la matière. Mais ils ne s'inquiètent pas de savoir si leurs conclusions puissent être faussées ou rendues imparfaites par l'outil mathématique, à cause des lacunes fondamentales que je suis en train de soulever. La science actuelle était en réalité très handicapée et très malade, malgré ses apparences de bonne santé...

Le problème de 1 / 0, c'est tout simplement le problème de l'Infini, car ce résultat est le nombre qu'on devrait appeler l'Infini, c'est ce nombre que la science actuelle n'arrive pas à saisir, ce sont ses secrets qu'elle n'arrive pas à élucider correctement, et comprendre que l'Infini, c'est simplement aussi le Zéro ! Les deux sont simplement deux faces du même problème, du même être. Ils sont le recto et le verso d'une même feuille, le côté pile et face de la même pièce. Quand on appelle l'un "recto" alors l'autre s'appelle "verso", et vice-versa. Et quand l'un s'appelle "pile" l'autre s'appelle "face". Et à la question de savoir lequel est exactement le "recto" et lequel est le "verso", ou lequel est exactement le "pile" et lequel est est "face", la réponse simple est : "Les deux" ! En effet, les deux rôles sont parfaitement symétriques et interchangeables. Les deux sont différents, et pourtant les deux sont finalement le même ! La science est vraiment malade quand elle ne comprend pas ça, et, pire, si elle en vient à exclure un des rôles, comme on le fait maintenant et comme on va le comprendre.

Ces deux pôles fondamentaux de la science (le Zéro et l'Infini), on les retrouve sous différentes formes, selon le domaine considéré. Toujours en mathématiques, on les retrouvera en théorie des ensembles sous la forme de l'"ensemble vide" et de l'"ensemble plein" (ou "ensemble de tous les ensembles"). Mais parce qu'on ne fonctionne pas avec la logique de Cycle qui fait comprendre qu'on parle de la même chose sous deux noms différents, on en est venu à déclarer que le second (l'ensemble plein) n'existe pas. C'est un grand problème des fondements des mathématiques actuelles, sur lequel je reviendrai plus tard. Cela nous fera voir comment la logique de Cycle change complètement la notion d'existence, l'objet même de la Science de l'Existence.

En physique, ces deux pôles (le Zéro et l'Infini) sont le problème de l'"infiniment petit" (c'est-à-dire quantité tendant vers Zéro) et l"infiniment grand" (c'est-à-dire quantité tendant vers l'Infini). Et dans ce domaine, le problème qui se pose est de réussir à concilier les deux grandes théories spécialisées chacune dans un des domaines, la mécanique quantique pour l'"infiniment petit" et la relativité pour l"infiniment grand". La conciliation est impossible si on continue à concevoir les nombres comme les objets d'une Droite numérique, mais tout devient maintenant possible avec le Cercle numérique ou le Cycle, car le Cycle est la loi même de l'Univers que se propse d'étudier la physique.

Et en religion ou en théologie, les deux pôles Zéro et Infini sont simplement le problème du Commencement et de la Fin, de l'Alpha et de l'Oméga, comme dans cette phrase de la Bible, quand Dieu dit : "Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Commencement et la Fin" (Apocalypse 21 : 6). Dieu manque à la science actuelle tout simplement parce que l'Infini y manque. On sera peut-être étonné que je dise qu'il manque l'Infini à la science, puisqu'on parle bien de l'Infini en maths ou en physique. Mais qu'on se détrompe ! Car il ne suffit pas d'employer le mot "infini" ou de définir des choses étiquettées "infini", pour qu'elles soient effectivement l'Infini. Ce serait par exemple comme de dire de quelqu'un qu'il est Dieu, tout simplement parce qu'il s'appelle Dieu ou que c'est son nom de famille, comme beaucoup le portent en France. A Clermont-Ferrand, j'ai un jour croisé une jeune étudiante qu'on appelait "Mademoiselle Dieu", parce que c'est son nom de famille. Très impressionné par cette appellation, je n'ai pas pu m'empêcher de lui demander : "Croyez-vous en Dieu ?" Elle a ri, et elle a répondu : "Pas du tout, je suis athée, c'est juste mon nom de famille". Ca alors ! Comment peut-on être athée avec un nom pareil ? Fin de l'anecdote...

L'Infini dans les sciences actuelles, c'est comme cette demoiselle, c'est juste un mot, un terme mathématique répondant à une certaine définition. Et la méthode actuelle pour donner un sens aux termes mathématiques s'appelle l'axiomatique, une méthode purement formelle, comme le nom de cette demoiselle qui est juste une forme, une étiquette, qu'il faut dépouiller de son sens naturel. L'Infini dont les maths actuelles parlent n'est pas obligatoirement le VRAI infini, le naturel, le fondamental. Le seul infini, le VRAI, est celui qui est défini par l'opération élémentaire : 1 / 0. Et cet Infini-là, c'est aussi le 0 ! Le problème des infinis qu'on définit en mathématiques actuellement, c'est qu'ils ne sont pas assez grands pour boucler le Cycle des nombres et revenir à 0.

Pour comprendre le problème, revenons par exemple au cas de la personne qui se déplace sur l'équateur terrestre, en partant d'un point 0. Avec son rayon de 6400 km, l'équateur est un cercle de 40 000 km. Après une marche de 10 000 km, la personne peut estimer être allée loin, à l'"infini". A 25 000 km, elle aura parcourue une distance encore plus "infinie". Mais c'est quand elle aura parcouru les 40 000 km qu'elle aura vraiment atteint le plus grand "infini", la plus grande distance. Il y a un moyen très simple pour savoir qu'elle a vraiment atteint ce grand infini : le retour à 0, au point de départ ! Ainsi donc, tant qu'on ne dit pas Zéro = Infini dans les mathématiques actuelles, tous les infinis qu'on peut définir d'une manière ou d'une autre ne sont pas le VRAI infini, mais ne sont que de petits infinis. Ils ne sont pas assez grands pour boucler le tour (le cycle) et revenir à 0. Le VRAI infini est donné par l'opération 1 / 0. C'est celui-là qu'on qualifie en mathématiques de "dernier ordinal", ce qui signifie "dernier nombre". Et c'est celui-là qu'on dit qu'il n'existe pas, et pour cause : il est trop grand pour les mathématiciens actuels. C'est celui vers lequel on tend toujours mais sans jamais l'atteindre, car on ne connaît pas le simple secret pour l'atteindre : le Cercle numérique, le Cycle, oui les nombres avec le Compas. Quand on le fait, alors la science rencontre enfin celui qui dit dans la Bible : "Je suis l'Alpha et l'Oméga"...

"Le proph de maths"

On a appris à la petite école à faire les opérations élémentaires d'addition, de soustraction, de multiplication et de division. Si on pose à un enfant de l'école primaire les opérations 1 + 0 , 1 - 0, 1 x 0, il saura les faire sans peine. Et pourquoi pas tout aussi simplement la quatrième opération : 1 / 0 ? On aurait dû comprendre dès la petite école que 1 / 0 = 0 ! Autrement dit, la réponse est 1 et 1 pour l'addition et la soustraction, et 0 et 0 pour la multiplication et la division ! La vérité est souvent plus simple qu'on ne peut l'imaginer a priori, les réponses les plus simples sont souvent les plus grandioses !

Si vous avez compris ce que j'ai dit jusqu'ici dans l'exposé de la Science Nouvelle, alors vous comprendrez aussi tout le reste, si vous le voulez. Car je parlerai de choses fondamentales et profondes, certes, mais je ne parlerai que de choses très élémentaires, qui ne nécessitent pas d'être un initié pour les comprendre. Vous n'avez juste besoin que d'avoir eu l'initiation à la science telle qu'on l'acquiert à l'école primaire, là où on apprend les bases de l'arithmétique et des autres sciences; d'avoir été initié aux connaissances du collège, là où on apprend par exemple les rudiments de l'algèbre, les calculs basiques avec les nombres et les lettres, avec...x, par exemple. Si ça ne vous paraît pas monstrueusement compliqué à comprendre une chose comme : x + x = 2x, ou : x - x = 0, si vous comprenez les propriétés élémentaires de la droite et du cercle, alors vous survivrez à tout ce que va expliquer encore l'ancien "prof de maths" en lycée professionnel. Le "prof de maths" était payé pour mettre 0 sur les copies des élèves qui écrivaient ce genre de "conneries" : 1 / 0 = 0, jusqu'au jour où le "prof " a compris que... eh bien, que ce sont les "nuls" en maths qui avaient raison ! La "connerie" 1 / 0 = 0 était une vérité scientifique lumineuse, que même Einstein n'a jamais comprise ou découverte ! Cette "connerie" est le secret même de l'Univers, sa Loi même ! A partir de ce moment-là, le "prof" cessait d'être un "prof de maths", mais il commençait à devenir quelque chose qui sonne pareil, mais qui est très différent : "proph de maths" ! Oui, "proph" comme "prophète"...

La différence entre le "prof de maths" et le "proph de maths", est que le premier ne parle jamais de Dieu dans sa mathématique car ces maths-là ne savent pas traiter du problème de Dieu, car elles ne savent pas faire la simple opération : 1 / 0. Mais le second, le "proph de maths", fait une mathématique qui sait maintenant faire cette opération très élémentaire, et c'est pourquoi elle sait aussi enfin traiter le problème de Dieu. Quand on affirme que 1 / 0 = 0, quand on contredit à ce point toutes les visions actuelles, on ne peut plus vraiment être un "prof de maths" classique, on commettrait une faute professionnelle en enseignant cela à ses élèves. Et le pire, quand on est un enseignant en France, où l'on ne badine pas avec la question de Dieu à l'école, où l'on crie à la laïcité, une certaine conception très française de la laïcité, qui est négative. A l'origine, la laïcité a eu pour but de séparer l'Eglise et l'Etat, de ne plus imposer la religion catholique comme religion de tous. Puis, en théorie, le mot laïcité est avancé pour dire qu'on garantit à chacun le droit d'avoir sa conception de Dieu, que toutes les conceptions se valent, y compris le droit de ne pas croire. Cette laïcité est en principe et en théorie quelque chose de positif. Mais force est de constater que dans la pratique, on cache derrière ce mot quelque chose de très négatif, qui va même à l'encontre de cette laïcité telle qu'elle est définie théoriquement. Mais dans la pratique et dans le meilleur des cas, cette laïcité à la française revient à faire de Dieu un sujet tabou dans la société, elle revient à dire très souvent : "Parlons de tout sauf de Dieu". Et dans le pire des cas, elle revient à interdire moralement (et parfois explicitement !) de parler de Dieu dans des cadres publics. Un homme ou une femme politique par exemple qui dans un discours ou un meeting se met à parler de Dieu sème un malaise ou un trouble. Parfois, il n'est même pas nécessaire d'employer explicitement le mot Dieu, mais de dire simplement : "Aimez-vous les uns les autres ou disparaissez", ou encore de dire au Zénith : "Fraternité, fraternité, fraternité...", pour susciter des réactions négatives, pour être taxé de "télévangélisme" à l'américaine, ou pour commencer à recevoir l'étiquette de gourou d'une secte, s'adressant à ses fidèles, ou prêchant pour faire des prosélytes.

Voilà la laïcité que je qualifie de négative, la laïcité qui ne laisse pas tant que cela la liberté comme elle prétend le faire, la laïcité qui a simplement remplacé l'Eglise comme religion d'état par l'athéisme comme religion, philosophie ou culture d'état ! Chacun est libre de partiquer sa religion (encore que...) soit, mais Dieu ou les convictions religieuses doivent être de l'ordre du personnel ou du privé, cela ne doit pas être une affaire publique, cela doit se faire en dehors de toutes les institutions de l'état. Car la religion d'état est l'athéisme, le "Parlons de tout sauf de Dieu", qu'on appelle la "laïcité". Et l'école est une des institutions par excellence où le sujet de Dieu est extrêmement sensible ! Il ne faut pas grand chose à l'école pour déclencher une affaire d'état, et un simple foulard peut créer un tremblement de terre...Dans ces conditions, on comprend encore plus pourquoi je ne peux plus être un "prof de maths" classique, qui ne doit pas parler de Dieu sa mathématique, qui doit continuer à enseigner à ses élèves qu'il est impossible de diviser par 0, que 1 / 0 = 0 est une "connerie" !

Il suffisait d'un compas pour démontrer que 1 / 0 = 0, il suffisait de tracer un Cercle pour démontrer Dieu, pour démontrer son théorème : Zéro = Infini ou Alpha = Oméga, pour faire comprendre pourquoi Dieu dit dans la Bible : "Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Commencement et la Fin" (Apocalypse 1 : 8; 21 : 5, 6). Convaincre de ces nouvelles choses les sommités, qui sont très réticentes !, enseigner toutes ces nouvelles choses au grand public pour changer la vision des choses, continuer à faire des recherches dans cet immense nouveau domaine (car c'est toutes les mathématiques et les sciences qui sont ainsi réformées), continuer à rédiger de nouveaux textes qui soient plus clairs, plus compréhensibles, plus pertinents, plus convaincants, cela demande beaucoup de temps, un travail presque nuit et jour ! C'est cela être un "proph de maths", c'est ce que je suis maintenant...

Etre un "proph de maths", c'est être un prof du Cycle, un professeur qui commence avec ses élèves l'étude des nombres non pas avec la règle mais avec le compas. Autrement dit, il apprend à ses élèves quelque chose qu'on n'apprend pas actuellement aux enfants qui découvrent les nombres et leur fonctionnement. On apprend actuellement aux enfants ce que j'appelle le "comptage linéaire", qui est une manière de voir les nombres et la vérité sur les nombres, mais pas toute la vérité. Par exemple, pour compter un groupe de 7 élèves, le comptage linéaire consistera à dire : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7. Ce faisant, on continue à voir les nombres comme chez les romains quand ils disaient : I, II, III, IV, V, VI, VII. Ceci n'est pas faux, évidemment, mais cela pose certains problèmes subtils que l'on ne prend pas en considération, le problème du 0, tout simplement. Cela fait des siècles qu'on a découvert le 0, mais on l'ignore encore très souvent dans les comptages, on a du mal à lui trouver sa place et son sens. Dans l'exemple ici, compter les 7 élèves c'est attribuer à chacun un nombre. On peut imaginer par exemple des numéros que l'on collerait sur eux, comme les numéros sur le maillot de joueurs. On peut alors très facilement constater qu'en commençant le comptage par 1, comme on le fait souvent et comme le faisaient les romains, aucun élève ne porte le numéro 0, ce numéro (donc cet élève) n'existe pas ! Mais si on décide de commencer par le numéro 0, alors c'est l'élève 7 qui disparaît ! On a donc du mal à avoir le 0 et le 7 en même temps dans ce comptage, quand on a l'un on n'a pas l'autre, et vice-versa. En effet, de 0 à 7 cela fait 8 nombres, huit numéros, alors qu'on doit compter 7 élèves. Comment résoudre ce problème ? Le problème qu'on rencontre vient de ce qu'on fait un comprage liénaire, au lieu de faire un "comptage cyclique".

Le comptage cyclique consiste à comprendre simplement que l'élève 0 est aussi l'élève 7. Autrement dit, pour compter 7 élèves suivant le comptage cyclique, on commence par l'un en disant 0, puis on compte les autres en disant 1, 2, 3, 4, 5, 6, et on termine par celui qu'on a appelé 0 en disant 7. Autrement dit encore, celui par lequel on commence le comptage est celui par lequel on termine le comptage. On a ainsi réalisé une boucle, un cycle, tout simplement comme le cycle de la semaine de 7 jours. Si on appelle 1 le lundi, cela veut dire que 0 est le dimanche juste avant, le 2 sera le mardi, etc., ce qui donne le comptage suivant : dimanche (0), lundi (1), mardi (2), mercredi (3), jeudi (4), vendredi (5), samedi (6), dimanche (7). C'est tout simplement cela compter 7 choses selon un comptage cyclique, on commence toujours par 0, et la chose appelée 0 est aussi celle appelée 7. D'une manière très générale, si on a compter un certain nombre de choses selon le comptage cyclique, on commence à appeler une des choses le 0, et cette chose-là est appelée aussi l'Alpha du comptage. Puis on compte en faisant le tour, et on termine le comptage par la chose appelée 0. Cette chose reçoit ainsi aussi le nom d'Oméga, le nombre par lequel on termine en revenant à l'Alpha, est le nombre total de choses à compter, 7 dans le cas des jours de la semaine par exemple, qui est un Cycle 7. C'est simplement cela le compage cyclique. Le point clef du comptage cyclique est que l'Alpha est aussi l'Oméga, sinon on ne parle plus de cycle.

Dans le cas du cycle de la semaine, le jour qui est l'Alpha et l'Oméga mérite le nom du "Jour du Seigneur", samedi si on va du samedi au samedi (de sabbat en sabbat), et le dimanche si on va du dimanche au dimanche, comme dans l'exemple ci-dessus. Et si on compre 7 élèves, on peut dire à l'élève qui est à la fois l'Alpha et l'Oméga du groupe : "C'est toi le chef du groupe, le premier et le dernier, le commencement et la fin, l'Alpha et l'Oméga. C'est toi le Dieu du groupe. Au prochain comptage du groupe, ce sera un autre le Dieu. A chacun son tour...". C'est cela la démocratie de Dieu, une démocratie tournante tout simplement, une démocratie cyclique.

Compter 12 choses, comme les douze apôtres de Jésus ou les douze heures de la demi-journée, c'est compter comme le montre cette figure déjà vue et elle aussi très familière, comme le cycle de la semaine :

 

L'Alpha est aussi l'Oméga, le 0 est aussi le 12. Comme chacun le sait, l'heure désignée comme le 0 est d'une importance particulière, car c'est aussi l'heure de la fin du cycle. C'est l'"Heure de Dieu", que ce soit midi ou minuit. Et quand au 12 apôtres de Jésus, celui portant le numéro 0 est aussi le numéro 12, c'est le chef des apôtres, le "Dieu des apôtres". Qui est-ce ? Pierre ? Jean ? Jacques ? Judas ? En tout cas les apôtres se querellèrent souvent pour savoir qui était le plus grand d'entre eux, qui est le Dieu du groupe. Mais Jésus leur fit aimablement comprendre que leur logique est la logique des hommes (autant dire la logique du Diable), ce que j'appelle ici la Logique de Droite ou Logique de Non. Il leur expliqua que chez Dieu, le plus grand est aussi le plus petit (Luc 22 : 24-27). Autrement dit, l'Oméga est aussi l'Alpha, le Tout-Puissant est aussi le Tout-Faible. Quand est-ce que les hommes comprendront cette logique divine ? Quand comprendront-ils que l'Infini c'est aussi le Zéro ?

Tout est une affaire de cycle, tout ce qui bouge et vit est une affaire de cycle. Comprendre l'Existence, l'Univers, la Nature, la Vie, c'est faire la science avec le Cycle, c'est avoir une conception cyclique des nombres. Dieu dit dans la Bible : "Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Commencement et la Fin" (Apocalypse 1 : 8; 21 : 5, 6). En d'autres termes, Dieu dit : "Je suis le Cycle", ou encore : "Je suis le Zéro et l'Infini". Oui, il nous explique : "Je suis TOUT, du commencement à la fin", ou : "Tout commence avec moi et tout finit avec moi", ou encore : "TOUT part de moi et revient à moi", etc. Voilà pourquoi la science qui se fait enfin avec le Cycle est aussi la Science de Dieu. On ne s'étonnera donc pas que la conception cyclique des nombres est celle qui permet enfin de définir Dieu, de le démontrer, de démontrer son existence, de dire CE qu'il est et QUI il est, avec la plus grande simplicité.

Science et avenir

Il faut maintenant reprendre les sciences à leur genèse même, pour montrer ce qu'elles ont raté et comment réparer cela, pour qu'elles deviennent meilleures et infiniment plus puissantes. Ce que je dis ici est d'une simplicité biblique, tout le monde peut le comprendre, car je reviens sur la mathématique telle que nous avons commencé à l'apprendre à l'école primaire (comme on appelle cette école en France et aussi au Togo). C'est de là que je vais partir, pour mettre le doigt sur le point où l'on a pris un faux départ, là où réside une très grave lacune, qu'il faut maintenant combler de toute urgence !

Toutes les machines actuelles affichent un message d'erreur ou d'impossibilité quand on tente de faire une division par 0. Je suis d'accord, il y a effectivement erreur ou "impossibilité", mais l'erreur n'est pas où l'on a toujours pensé qu'elle est. Et, en fait, cette "impossibilité" n'est pas réelle mais traduit plutôt une incapacité actuelle à faire cette opération. On ne peut rien contre l'impossibilité, mais on peut tout contre l'incapacité ! Il suffit simplement d'apprendre à faire ce qu'on ne savait pas faire ! Je veux simplement dire que l'erreur n'est pas dans cette opération, mais l'erreur est celle de ceux qui ne savent pas la faire, et plus précisément de tous ceux qui ont fait la science actuelle, qui ont bâti cette science sur une mauvaise base, qui lui ont fait prendre un faux départ !

Selon les domaines scientifiques où l'on se place, ce faux départ est plus ou moins manifeste et plus ou moins facile à mettre en évidence. C'est sans aucun doute en théorie des ensembles (la théorie qui est le fondement même des mathématiques actuelles) et en logique que ce faux départ peut le plus être mis en évidence, qu'on peut voir que quelque chose ne tourne vraiment pas rond ! Par exemple, les spécialistes de la théorie des ensembles ont élaboré une théorie où ils parlent de l'"ensemble vide", l'origine même de la notion de 0, qui est au coeur du problème que je soulève, celui de la division par 0. Mais cette théorie rejette l'"ensemble plein" (ou "ensemble de tous les ensembles"). On fait donc une science avec le Vide sans le Plein, autrement dit avec le Zéro sans l'Infini, cette fameuse division 1 / 0, avec l'Alpha sans l'Oméga.

Comme je ne cesserai de vous le dire, ne vous effrayez pas si vous n'êtes pas matheux, car je m'efforce d'expliquer tout çà d'une manière compréhensible par tous. Il FAUT que vous compreniez ces problèmes des bases de la science, de la science telle que nous l'avons apprise dès la petite école. Nous avons appris à compter et à calculer car c'est très nécessaire dans notre vie de tous les jours, sans quoi par exemple nous ne pouvons pas compter nos sous et calculer notre pouvoir d'achat, comprendre les pourcentages de hausse ou de baisse de la bourse..., nous réjouir avec la croissance de l'économie et angoisser avec la récession....

Juste pour dire que les nombres et les calculs sont indissociables de la vie, et une révolution dans les nombres et les calculs tels que nous les avons appris depuis l'enfance, c'est aussi une révolution dans notre vie, cela nous concerne tous, et pas seulement les matheux. Peut-on dire que la crise financière ne touche que les financiers et pas chacun de nous dans notre vie quotidienne ? De la même façon, ce dont je parle ne concerne pas que les matheux mais nous tous, puisque cela concerne les bases mêmes de nos connaissances. Nous devons revoir tous nos fondamentaux actuels, que ce soit en économie ou ailleurs, et la question de la division 1 / 0 est un problème des fondamentaux de la science actuelle, telle que nous l'avons apprise depuis la petite école. Les questions que je soulève sont très importantes pour notre vie et pour notre avenir. Pas seulement l'avenir de nos enfants, mais notre avenir à tous. Nous avons vécu jusqu'ici dans un monde où nous pensions que notre avenir s'arrête avec notre mort, et le reste est l'affaire des générations qui nous suivent. Mais, malgré les évidences actuelles, ceci n'est peut-être pas si vrai que ça ! Les problèmes du monde de dans 1000 ans nous concernent tous aujourd'hui, car dans 1000 ans, une autre vie nous attend peut-être...

C'est ça qui est fascinant avec la science, qui lutte pour allonger notre vie, pour que la mort arrive le plus tard possible, et qui rêve de remonter le temps, et pourquoi pas un jour de faire revenir de la mort ! En effet, celui qui peut remonter le temps pour aller revoir une personne quand elle vivait encore, peut simplement aussi faire venir cette personne dans le futur, donc la ressusciter ! Comme je le montre dans beaucoup de documents de la Science Nouvelle, savoir faire la division 1 / 0 = 0 (qui signifie Infini = Zéro) change complètement la conception du temps, et c'est le Cycle dont j'ai parlé plus haut et dont je parlerai encore. La science qui comprend que le temps est cyclique (ou que le Temps est le Cycle), que le futur rejoint le passé, que le passé se trouve aussi dans le futur, commence à trouver le secret de remonter le temps, avec tout ce que cela implique ! C'est pourquoi donc cette question de la division par 0 nous concerne tous au plus haut point aujourd'hui, c'est le secret même de notre passé, et c'est le secret de notre avenir; nous ne devons donc pas exclure la possibilité d'une autre vie dans 1000 ans. A nous de la vouloir ou de la refuser, mais ce n'est pas la possibilité qui manque dans l'absolu. La science nous a déjà fait connaître des choses extraordinaires, elle a déjà transformé des rêves en réalité, elle a déjà fait des "miracles". Mais quoi qu'elle ait déjà fait, le plus extraordinaire reste toujours à venir, le MIRACLE est pour demain !

"Science, lève-toi et marche !" (Matthieu 9 : 6-8)

Cette opération élémentaire 1 / 0 est donc d'une extrême importance, car elle change complètement la science ! Faire l'apologie de la science chez moi, c'est aussi faire une très grande critique de la science. Il faut voir ce qui est bien, mais il faut voir aussi ce qui ne va pas du tout, car c'est ainsi qu'on progresse vraiment ! La science actuelle a pris un bon départ avec 1 + 0 = 1, 1 - 0 = 1 et 1 x 0 = 0. Mais elle a pris un faux départ avec la quatrième opération, oui elle a trébuché sur 1 / 0, elle s'est cassé la jambe, et elle courait en fait avec des béquilles ! Je peux même donner le nom très précis de ces béquilles, ça s'appelle l'axiomatique, en ce qui concerne les maths. Oui, la science qui marche avec les axiomes et les hypothèses !

Mais avec 1 / 0 = 0, en ayant démontré que cette égalité est un théorème (que j'appelle le Théorème de l'Existence, que l'on comprendra spécialement ici), finie la science infirme et aveugle, qui tâtonne avec les axiomes et les hypothèses, la science avec laquelle le mot "chercheur" signifie en fait "tâtonneur". On dissèque abondament les animaux, on construit des collisionneurs géants où l'on fait s'entre-choquer des particules pour voir ce que ça va donner, pour voir si ça va ou non confirmer les hypothèses, pour avoir la réponse à des questions dont on aurait pu connaître la réponse sans que cela coûte un seul centime au contribuable ! Si on en doute, je suis aujourd'hui une preuve vivante de ce que j'avance. J'apporte dans les textes de la Science Nouvelle un grand nombre de réponses et j'annonce un grand nombre de résultats, avec seulement le budget qu'est le salaire d'un ancien "prof de maths" en lycée professionnel, sans aucun soutien financier (de la France en tout cas), sinon une aide de 3050 euros accordée en 2006 par le président togolais, quand je lui ai soumis la Science de l'Existence. Si ce n'était pas à cause de son conseiller Monsieur Kokou Tchariè (Maître de Conférence et Professeur de mathématiques à l'Université de Lomé (à qui le président a confié le dossier et qui a purement et simplement étouffé le dossier), aujourd'hui je ne peinerais pas tant pour faire connaître la Science Nouvelle au monde par mes propres moyens. En ce début de 2009, je continue mes recherches, avec comme seul source de revenus le RMI ! Et je peux dans ces conditions et avec ce budget de recherche si modique, annoncer de grands résultats scientifiques, qui coûtent des millions et des millions (pour ne pas dire des milliards !) d'euros au controbuable, sans pourtant que le résultat soit garanti ! Par exemple, grâce au Théorème de l'Existence, je peux annoncer annoncer que le boson de Higgs, qu'on cherche actuellement dans le LHC, l'accélérateur de particules du CERN, existe, oui IL EXISTE ! Et je peux répondre ainsi à de nombreuses questions scientifiques, qui tracassent les physiciens est les scientifiques actuels ! Quelle efficacité, si on s'était bien pris pour faire la science ! Et quelle économie, avouons-le !

Le gigantesque budget de la science et de la recherche aurait donc pu être utilisé autrement, beaucoup plus efficacement, si la science avait pris un bon départ, si on avait compis très tôt que 1 / 0 = 0 ! La science (et c'est l'antithèse de l'apologie faite précédemment) n'aurait pas été un infirme qui court à l'aveuglette avec des béquilles et qui engloutit un grand budget pour atteindre des résultats souvent incertains, mais elle aurait été une vraie fusée très perspicace, très économique, qui fait mouche à tous les coups ! Aujourdhui, même si la science a fait de grands progrès, elle ne pouvait pas aller très loin avec ses béquilles, car elle a un horizon qui lui est inaccessible avec ce lourd handicap, un mur qu'elle ne pouvait jamais franchir, un mur à partir duquel commence pour elle toutes les impossibilités !

DIEU est la première de ces impossiblités, puis il y a aussi par exemple les miracles de Jésus dont parlent les évangiles et que la science ne peut pas vraiment expliquer dans son état actuel. Puis il y a le grand problème du Diable, du Mal, avec ses corollaires, la mort par exemple, l'impossibilité de vaincre la mort, de ressusciter les morts, et de connaître la vie éternelle dont parle Jésus (Jean 3 : 16; 6 : 40). Il y a aussi l'impossibilité de franchir les ultimes limites de notre univers et d'aller au-delà de ses frontières, pour découvrir d'autres univers, d'autres cieux (Matthieu 6 : 9, 10) ! Et il y a tout simplement l'impossibilité de remonter le temps, ou de vaincre les immenses distances spatiales, ces gigantesques années-lumière, pour aller simplement dans d'autres galaxies de notre univers, pour découvrir d'autres mondes, d'autres terres ! La physique actuelle (la relativité), affirme qu'il est impossible pour la matière de voyager au-delà de la vitesse de la lumière, etc., etc., etc.. Et on peut dresser ainsi une liste infinie d'impossibilités pour la science dans son état actuel, s'il ne s'y produit pas une vraie révolution conceptuelle ! Si on ne revient donc pas à la case départ pour corriger le faux départ des sciences actuelles, tout cela ne restera à jamais que des légendes (pour ce qui est de ce que dit la Bible), et de la science-fiction (pour ce qui est de tout ce tout ce qu'on peut faire miroiter actuellement en la matière).

Voilà tout ce qui doit changer maintenant, avec la science qui sait enfin faire la division 1 / 0. Le "proph de maths" apprendra ici à tous à faire cette chose réputée impossible, prélude d'un monde où tout devient maintenant possible. J'invite tous à accomplir avec moi ce miracle scientifique, qui pose les bases de tous les miracles à venir. Tous pourront constater à quel point c'était vraiment d'une simplicité biblique ! Avec cette simple opération 1 / 0 = 0, c'est la première de toutes les impossibilités scientifiques qui devient enfin une possibilité, à savoir DIEU ! Et la science dans laquelle Dieu arrive, est la science qui commence vraiment à faire des miracles. Cette science, c'est la Science Nouvelle...

 

Toute chose existe...


Comment la science devrait démarrer

Si je vous demande : "Qu'est-ce qu'étudient les mathématiques ?", vous me répondrez quelque chose comme : "Les nombres". Et si vous êtes plus informé sur les fondements des mathématiques, vous serez plus précis en disant : "Les ensembles". Si je vous demande : "Qu'est-ce qu'étudient les sciences physiques ou la physique ?", vous me répondrez quelque chose du genre: "La matière" ou "L'Univers". Si je vous demande : "Qu'est-ce qu'étudie la biologie ?", vous me répondrez quelque chose de cette espèce : "La vie" ou "Le vivant". Etc., etc., etc.. OK...Et maintenant, si je vous demande simplement : "Qu'est-ce qu'étudie la science ?", vous me répondrez quoi ? Vous me direz : "Elle étudie TOUT" ? Vraiment TOUT ? L'existence aussi ? Dieu aussi ?

C'est dans des questions simples, naïves (dans le bon sens du terme), un genre de questions qu'un petit enfant poserait à des adultes, des questions que (hélas) très souvent les adultes ne se posent plus, que se cachent de nouvelles lumières. Il y a des chances que vous ne vous soyez jamais posé le genre de questions que je pose aujourd'hui. Je ne les pose pas pour vous prendre la tête avec, pour vous donner des migraines ou pour philosopher, car j'ai toujours détesté philosopher pour philosopher. Mais j'aime réveiller les consciences, soulever des questions pour faire sortir du ronron et de la routine, pour faire avancer les choses. Il importe donc de saisir toute la pertinence des questions auxquelles je vous soumets, pour comprendre que malgré toutes les apparences, quelque chose de fondamental ne tourne pas rond dans les sciences actuelles, pour comprendre pourquoi il faut vraiment une Science Nouvelle !

Je veux montrer simplement que la science est actuellement mal fondée, parce qu'elle n'a pas pour objet la notion qui devrait être son objet même : la notion d'existence. Dès l'instant où l'on prend conscience de son existence, on commence à connaître l'existence. La connaissance commence par cette notion fondamentale, la science commence avec cette notion. Par conséquent, si la science ne fait pas de cette notion son objet, elle prend un mauvais départ. Un enfant qui vient à l'existence, qui découvre l'existence, commence aussi à découvrir les choses, à voir les choses, à entendre les choses, à toucher les choses, etc. Son activité scientifique commence tout simplement ainsi, par ses sens, par son observation. Il va commencer à concevoir des choses, à imaginer des choses, et il va être amené à se demander si telle ou telle chose existe ou pas. D'où la grande importance de la notion d'existence, mais aussi du mot plus général chose, qui permet de distinguer les choses qui existent (les existences) des choses qui n'existent pas (les non-existences), de poser le problème de l'existence des choses, et en particulier de la chose nommée Dieu.

Quand donc la notion d'existence n'est pas le centre même de la science, elle prend un faux départ. Et alors il se passe dans cette science des choses bizarres, très bizarres, elle se heurte à des questions très élémentaires, des difficultés qui n'auraient dû jamais se poser, comme par exemple faire la simple opération "1 / 0", c'est-à-dire "diviser 1 par 0". Je vous invite maintenant à découvrir en profondeur les lacunes des sciences actuelles et comment les combler.

"IL EXISTE..."

Commençons par les mathématiques actuelles. Commençons donc par la reine des sciences, celle réputée la plus exacte de toutes, les mathématiques, oui les maths ! Découvrons davantage maintenant les incroyables lacunes de cette science reine...

Avez-vous déjà entendu parler du "quantificateur existentiel" ? C'est un outil très utile aux mathématiciens et aux logiciens, et il se résume par l'expression "IL EXISTE". Il faut savoir que la théorie mère des mathématiques s'appelle la théorie des ensembles, qui est l'étude de la notion d'ensemble et d'élément. Quand je dis par exemple, Théophile est un humain, vous n'avez pas le sentiment que je fais les maths, car je parle un langage courant, le langage de la vie. Et pourtant dans cette phrase se cache le langage des ensembles, le langage d'ensemble et élément. Je dis tout simplement que Théophile est un élément d'un certain ensemble, l'ensemble des humains. Donc chaque jour, du lever au coucher, quand vous parlez et raisonnez, vous vous exprimez sans le savoir dans le langage des ensembles. Toute la mathématique peut être exprimée en termes d'ensembles et d'éléments. Mais ce qu'on ne sait pas, c'est que toute la science, toute la connaissance, toute la vie, bref TOUT (y compris la religion et Dieu !), peut être exprimée en termes d'ensembles et d'éléments. D'où la très grande importance de la théorie des ensembles, de l'étude des ensembles et des éléments. Et comme on va le voir, le "quantificateur existentiel", l'expression "IL EXISTE", est de la plus haute importance dans l'étude des ensembles. Si je vous en parle, c'est évidemment à cause du mot "EXISTE" qui fait son essence même. C'est lui qui va nous permettre progressivement de comprendre la nature exacte et la méthode d'approche de la Science de l'Existence, la Science Nouvelle, ce qui fait sa différence fondamentale avec les sciences actuelles, à commencer par les mathématiques...

Les mathématiques et la logique actuelles ont un problème de démarrage, qu'on appelle "problème des fondements", qui se manifeste par toutes sortes de paradoxes ou de contradictions. Pour résoudre ces problèmes, on a eu recours à ce qu'on appelle les axiomes, pour fonder rigoureusement (dit-on) la théorie des ensembles et l'ensemble des mathématiques (voir Théorie des ensembles de l'encyclopédie en ligne Wikipedia). Un axiome est un énoncé non démontré, qu'on pose au départ d'une théorie mathématique, et qui sert (avec l'aide éventuellement d'autres axiomes) à démontrer de nouveaux énoncés appelés alors théorèmes. Si vous avez considéré ou jeté ne serait-ce qu'un coup d'oeil à l'article Théorie des ensembles de Wikipedia, vous avez pu voir ces axiomes à l'oeuvre dans ce qu'on appelle la Théorie axiomatique des ensembles. C'est à cette théorie que je mets fin aujourd'hui avec ce que j'appelle la Théorie universelle des ensembles, une autre façon de dire simplement Science de l'Existence. Je montre les graves limites de la manière actuelle d'étudier les ensembles, et même si vous n'êtes pas matheux ou spécialiste, vous allez très facielement comprendre ce qui ne va pas du tout. C'est gros comme une montagne !, je vous le promets, et vous allez comprendre pourquoi par la suite. Même si les notions que j'aborde vous semblent très étrangères, prenez votre courage à deux mains, et suivez le guide, prêtez-vous au "jeu", prêtez-vous à l'expérience, vous ne le regretterez pas, car vos yeux vont littérelement s'ouvrir ! En plus, vous n'allez pas être un lecteur passif de ce que je dis, mais vous allez pouvoir participer à ce je vous montre, vous verrez à quel point c'était si facile de faire une AUTRE science ! Entrons dans l'univers des ensembles, redécouvrons ensemble les nombres, n'ayez plus peur de l'axiome ou du théorème...Commencez à devenir maintenat un copain (ou une copine) avec le quantificateur existentiel, très jolie appellation du reste. Faites vos premiers pas en ma compagnie avec la magnifique et très importante expression "IL EXISTE", et laissez-vous lentement mais sûrement conduire vers le Théorème de l'Existence ou Théorème de Dieu. D'une simplicité biblique...Prêt ? Allons-y !

Repartons de 0...

Un important axiome de l'actuelle Théorie des ensembles est l'axiome de l'ensemble vide, qui dit : "IL EXISTE un ensemble n'ayant aucun ensemble comme élément". En fait, c'est cet ensemble que vous connaissez plus familèrement sous le nom de Zéro ou 0 ! L'expression "ensemble vide" est la manière de dire "zéro" dans le très important langage des ensembles, le langage mathématique le plus fondamental actuellement.

Dès les premières classes de l'école vous avez appris à compter, à dire : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, .... C'est ce qu'on appelle les nombres entiers naturels, très juste appellation aussi. Vous avez très tôt appris à calculer avec les nombres naturels, à les additionner (+), à les soustraire (-), à les multiplier (x) et...à les diviser (/). Avec les trois premières opérations, vous n'avez jamais rencontré une impossibilité, on ne vous a jamais dit qu'il est impossible de faire une addition, une soustraction ou une multiplication avec deux nombres entiers naturels, quels qu'ils soient ! Jusqu'au jour où je vous demande de me faire la fameuse quatrième opération, cette simple division "1 / 0"... Et alors on doit comprendre qu'on a loupé quelque chose de très important au départ, qu'on doit repartir de 0...

Ce sont les "nuls" en maths qui avaient raison...

En tant qu'ancien prof de maths en lycée professionnel (le lycée professionnel d'Yzeure dans l'Allier et le lycée Camille Claudel à Clermont-Ferrand), j'ai été confronté à des élèves qui ont de gros problèmes avec les maths. Les équations, ce n'est pas leur tasse de thé, par exemple de résoudre : 4x - 3 = 2x + 7, ou plus simplement : x = x + 1. Simplement ? Cette deuxième équation plus "simple", vous pouvez tenter de la faire, même si vous détestez les maths, même si vous vous dites "nul" dans ces machins appelés équations. Essayez avec moi, faites moi plaisir, s'il vous plaît, juste pour redécouvrir les maths et les sciences, en s'amusant un peu ou beaucoup. Oubliez vos traumatismes passés avec les équations, les X et les Y, les variables et les inconnues, et dites-vous simplement que nous nous dirigeons maintenant vers le CONNU, vers une grande CONNUE, l'Existence ! Désormais, par X, il faut comprendre "eXistence", la lettre "X" sera un mot court pour dire "existence". On dira un " x", pour signifier une "existence" quelconque, une "existence" non précisée, une "existence" qu'on veut préciser, identifier. Il est trop tôt de vous dire pourquoi "Toute chose est un nombre", donc pourquoi l'existence, la vie et les maths font maintenant un. En réapprenant donc à calculer, on réapprend l'existence et la vie. Nous sommes progressivement en train d'apprendre à calculer très différemment, d'une manière très facile, naturelle, intuitive. Nous apprenons la mathématique qui est aussi l'existence et la vie, et non plus la mathématique abstraite séparée de l'existence et de la vie, mais qu'on essaie ensiuite d'appliquer à la vie. Mais pour l'instant, dans cette période de transition entre les anciennes maths et la Mathématique Nouvelle, entre les anciennes sciences et la Science Nouvelle, cela semble pareil qu'avant. Mais justement c'est en train de changer, et avec vous. Prêtez-vous donc au jeu, essayez avec moi, et vous allez progressivement vivre le changement avec moi. Allons, essayez donc de résoudre : x = x + 1.

Un petit coup de pouce ? Le problème est simple et le voici : "Quel nombre reste pareil même quand on lui ajoute 1 ?" Et je précise qu'on cherche non pas un nombre abracadabrant, par exemple ce que les matheux actuels appellent les "cardinaux transfinis"... Mais on cherche un simple entier naturel : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, ..., comme solution au problème. Quand vous ajoutez 1 à 6 vous avez 7. Mais là il faut ajouter 1 à un certain nombre entier naturel et trouver comme résultat le même nombre ! Courage, un petit effort, et vous y êtes...Vous ne voyez pas ? Aucune idée ?

C'est pas grave, l'essentiel c'est d'avoir quand même essayé, de participer (comme dirait Pierre de Coubertin), de toucher soi-même du doigt le fond du problème, et on ne comprendra que mieux l'étonnante solution ! On n'apprend rien en étant passif, on ne mesure pas la magnificence de la solution, car on ne sait pas quel gigantesque problème on a résolu ! Pour le savoir et en retirer vraiment quelque chose, il faut mettre la main dedans, c'est tout ce que je vous demande. Allez, ne vous cassez donc plus la tête avec x = x + 1, mais commencez à découvrir le miracle scientifique, car c'est bien à un miracle que vous êtes en train de participer, l'impossible qui devient possible ! En effet, face à un problème du genre : x = x + 1 ("Quel nombre entier naturel reste lui-même quand on lui ajoute 1 ?"), vous êtes obligé de dire la même chose que les grand matheux de ce monde : c'est impossible ! Et moi, j'étais payé pour dire à mes élèves que c'est impossible, pour leur mettre 0 sur leurs copies s'ils m'écrivent une grosse "connerie" comme "1 / 0 = 0" ! Vous comprenez alors pourquoi je ne suis plus un prof de maths classique, car je ne peux plus supporter de donner 0 à des élèves qui disent une vérité sublime, qui énoncent la loi la plus extraordinaire de l'Univers, qui énoncent tout simplement la formule même de l'Univers ! Ils sont simplement en train de me dire : Infini = Zéro ou si l'on veut : Zéro = Infini ! En d'autres termes, ils sont en train de dire simplement que le Vide est aussi le Plein, que le Commencement est aussi la Fin, bref que l'Alpha est aussi l'Oméga ! Génial ! Et c'est ce que j'appelle aujourd'hui l'expression du Cycle ! C'est le premier pas pour découvrir enfin la solution à ce problème : x = x + 1, pour aboutir au Théorème de l'Existence ou Théorème de Dieu. Nous y parviendrons après quelques explications et préparations supplémentaires... Et maintenant, à votre règle et à votre compas, pour une simple et banale expérience, trés éclairante !

Si vous tracez une droite, le commencement de la droite n'est jamais aussi la fin. Et si vous placez les nombres sur une droite (comme on le fait actuellement), l'Infini ne rejoint jamais le Zéro. Mais tout le monde a appris depuis la petite école comment on trace un cercle avec le compas. A la fin, on revient au commencement, exactement comme avec le cycle du jour, où à 24 h on revient à 0 h. Si donc vous placez les nombres sur un Cercle (ou Cycle) au lieu de le faire sur une Droite, comme on le fait maintenant, à l'Infini vous revenez à Zéro ! C'est ce que veut dire "1 / 0 = 0" ! L'élève "nul" en maths dit très natuellement ça sans réfléchir et sans se poser des questions philosophiques, et je dois lui mettre 0. Et pourtant même Einstein n'a pas pu dire une chose pareille, il n'a pas découvert le Cycle, même s'il a compris que l'Univers est courbe, et que la trajectoire de la lumière dans l'Univers n'est droite qu'en apparence, mais est en réalité courbe ! Pour traduire cela au citoyen lambda, il a dit un jour ceci : "Si vous avez une bonne vue et si vous regardez droit devant vous, vous verrez votre nuque". En clair, la lumière suit une courbe, un cercle, un cycle, ça Einstein l'a compris. Et pourtant il n'a jamais compris que ce secret est aussi le secret des maths qui servent à faire toute la science ! Le Cycle est le secret même des nombres, le secret du Zéro et de l'Infini. On devrait apprendre dès l'école primaire que "1 / 0 = 0", tout comme on apprend par exemple aussi que "1 x 0 = 0", que "1 + 0 = 1", que "1 - 0 = 1"...

La très importante notion d'ensemble. Le Théorème de l'Existence

Je vous ai parlé de la très grande importance du langage des ensembles, de la notion d'ensemble et d'élément. C'est le langage scientifique le plus universel qui soit, celui que vous utilisez le plus naturellement du monde, dans votre vie de tous les jours. Vous le faites sans le savoir, tellement c'est naturel, fondamental, existentiel ! C'est quand on commence à vous faire prendre conscience des règles de ce que vous utilisez naturellement, et qu'on appelle ces règles la "théorie des ensembles", que vous paniquez en croyant à tort que ce n'est qu'une affaire de matheux. Chaque fois que vous employez un mot, un nom commun, "voiture" ou "ordinateur" ou "maison" ou "fruit" par exemple, vous définissez un ensemble, dont les éléments sont caractérisés par le mot que vous avez employé. Ainsi, "une voiture" est un élément de l'ensemble des voitures, ensemble qu'on peut appeler Voiture (en majuscule, comme j'écris Existence en majuscule). C'est la même chose pour "un ordinateur" et l'Ordinateur, "une maison" et la Maison, "un fruit" et le Fruit, "une existence" et l'Existence, "une chose" et la Chose. A chaque fois on a le mot en tant qu'élément, et le même en tant qu'ensemble.

Dans une langue comme le français, quand on emploie un mot en tant qu'élément, on utilise généralement un article comme "un" ou "une". Mais quand on l'emploie en tant qu'ensemble, on emploie en général l'article pluriel "les" ou "des", et souvent aussi l'article défini "le" et "la". Et ces mêmes mots "le" ou "la" sont souvent employés aussi pour parler d'un élément partculier d'un ensemble donné. Quoi qu'il en soit, qu'on le veuille ou non, on est toujours dans le langage des ensembles. Toutes les langues ont leur manière propre de mettre en oeuvre cette logique des ensembles et des éléments. Le plus important est de prendre conscience du fait que vous employez ainsi constamment les mots, mais sans savoir que derrière cela se cache le langage des ensembles. C'est pourquoi je ne peux pas ne pas vous parler de cette très importante notion, la troisième par ordre d'importance, après le mot "chose" et le mot "existence". La quatrième notion est simplement celle de nombre, etc.

Dans la Science de l'Existence, le mot "chose" est le mot le plus général, le mot par défaut, celui qu'on emploie en l'absence de tout autre, quand on ne précise pas de quelque "chose" on parle. On parle d'une "chose", avant de préciser si la "chose" en question existe ou non (Dieu). C'est pourquoi le mot "chose" est prioritaire par rapport au mot "existence" dans la Science de l'Existence. Une fois les mots "chose", 'existence" et "ensemble" pris comme mots clefs de départ de la théorie, on définit très facilement avec eux beaucoup de notions fondamentales. Par exemple, l'ensemble de toutes les choses, qu'on peut appeler Chose, est la définition de l'Univers, en majuscule. Par "existence", il faut entendre simplement une "chose qui existe". L'ensemble de toutes les existences (c'est-à-dire donc l'ensemble de toutes les choses qui existent), est simplement ce que je note si souvent Existence, en majuscule. Et, charité bien ordonnée commence par soi-même, l'ensemble de tous les ensembles est ce que j'appelle l'ensemble plein ou Ensemble en majuscule. C'est cet ensemble entre autres qui pose problème pour les actuels théoriciens des ensembles, tout simplement parce qu'ils s'y prennent mal pour étudier cette notion, ils ne partent pas la notion fondamentale de chose et de la notion d'existence ! C'est aussi simple que cela, l'erreur est que la science actuelle a pris un faux départ, comme je l'explique depuis le début.

Une fois démontré le Théorème de l'Existence, à savoir que "Toute chose existe", les mots "chose" et "existence", deviennent synonymes, et aussi des notions d'"ensemble" et de "nombre". La démonstration de ce théorème clef est à la fois très simple et très difficile à compprendre, car d'une très grande subtilité. Cette démonstration revient à dire simplement ceci : La phrase "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" est absurde, paradoxale, fausse ! Par conséquent, son parfait contraire : "TOUTE chose existe", est sensé, cohérent, vrai ! C'est une affaire de LOGIQUE, d'usage du quantificateur existentiel, "IL EXISTE", et de l'autre quantificateur qui lui est très étroitement associé, le quantificateur universel, le mot "TOUT". Si vous avez l'esprit logique, vous comprenez ce simple raisonnement, sans être un logicien et un expert du maniement des quantificateurs et des connecteurs logiques. Sinon il vous faut être un logicien pour comprendre pourquoi les phrases "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" et "TOUTE chose existe" sont parfaitement contraires l'une de l'autre, et donc que si l'une est fausse (parce que paradoxale), alors l'autre est une vérité, un théorème, même si ce théorème semble heurter le "bon sens", comme on va le voir dans des exemples ci-après. Le problèmes des logiciens et des mathématiciens actuels est qu'ils utilisent le quantifiacateur existentiel, "IL EXISTE", seulement comme un instrument technique, coupé de la notion naturelle d'existence qu'il contient, et qui sert à dire qu'une chose existe ou n'existe pas, comme le problème de Dieu ou des adamatwo et adamaten dont je vais parler ci-après. C'est ce tour de passe-passe et cette séparation artificielle entre la FORME (le quantificateur purement formel et technique "IL EXISTE"), et le SENS (le sens courant du verbe exister tel qu'une fillette de 3 ans et demi peut le concevoir), qui leur permet de s'en sortir avec leurs axiomes et de mettre en place la Théorie axiomatique des ensembles (revoir si nécessaire l'article Théorie des ensembles de l'encyclopédie Wikipedia). Les paradoxes qu'ils croient avoir résolus sont simplement repoussés en profondeur, dans un domaine où ils ne se remarquent plus, au niveau de la notion d'existence, comme je viens de le montrer. La science ainsi obtenue semble exacte, mais elle ne l'est qu'en surface, car ses fondements sont toujours aussi mauvais, parce que ces fondement ne sont pas l'existence.

Je vous propose maintenant deux exemples simples permettant de voir comment vous fonctionnez en permamence avec la logique des ensembles, sans vous en rendre compte. La théorie des ensembles que je vous fais découvrir et vous explique, est vraiment celle la plus universelle qui soit, la plus naturelle qui soit, celle qui vous fait enfin comprendre les mécanismes les plus profonds de votre langage courant, de votre raisonnement, de votre logique, de votre psyché, de votre esprit ! Elle est en parfaite harmonie avec vous, contrairement à l'actuelle Théorie des ensembles, qui comprend mal les secrets de votre psyché, qui est en conflit avec vous, et qui s'enferme dans un jargon et un sytème d'axiomes qui est très loin de vous, qui n'est résevé qu'aux initiés. Voyons maintenant comment non seulement le langage des ensembles et votre langage le plus fondamental, mais aussi pourquoi si on s'était bien pris pour étudier les ensembles, on aurait pu découvrir que toute science et domaine (mathématique, physique, biologie, psychologie, logique, philosophie, religion, etc.) n'est qu'une manière différente d'aborder une seule et même science, la Science de l'Existence ! Tout le monde est victime d'une terrible Tour de Babel, chacun étant enfermé dans son langage et jargon, tous parlant en fait des mêmes choses mais sans le savoir. Seule une théorie des ensembles bien faite permet d'unifier tout le monde, de faire parler le même langage fondamental à tout le monde, d'accorder tous les violons, de transformer la grande cacophonie en gigantestesque symphonie. Et ce langage des ensembles est vraiment à votre portée, ne manquez pas cette occasion inédite que je vous offre de comprendre enfin le fond des choses, de comprendre enfin tout ! Cela vous dit que je vous cause un peu des adamatwo et des adamaten pour percer les secrets de votre langage et de la logique des ensembles qu'il cache ? Allons-y alors...

Si je définis par exemple un "adamatwo" comme étant un "humain ayant une taille d'au moins 2 mètres", vous pourrez dire que les adamatwo existent, puisque des basketteurs américains ont cette taille. En langage des ensembles, cela veut dire simplement l'ensemble Adamatwo est non vide. Mais si j'appelle un "adamaten" un "humain ayant une taille d'au moins 10 mètres", là vous pourriez penser pouvoir dire que les adamaten n'existent pas. Mais je ne vais pas ici entrer dans ce problème d'existence, qui est simplement toute la subtilité du Théorème de l'Existence, la subtilité de l'énoncé "TOUTE chose existe", apparemment faux et pourtant vrai !, tandis que son contraire "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" avec lequel on fonctionne actuellement et qui semble vrai, est pourtant d'une grande absurdité et fausseté ! Je suis en train de soigner votre conception de l'existence, et c'est pour l'instant trop vous demander de changer aussi brutalement une vision des choses dans laquelle vous avez plongé depuis votre tendre enfance et même depuis le ventre de votre mère !

Pour l'instant donc, je prends acte du fait que vous pensez que les adamaten n'existent pas, pour vous faire juste remarquer qu'en disant cela, vous dites simplement que l'ensemble Adamaten est un ensemble vide, autrement dit, il existe 0 adamaten. C'est l'occasion de vous faire remarquer le lien très étroit entre un langage courant (ici la simple négation de l'existence d'une chose comme vous le faites constamment...), la notion d'ensemble vide, et celle du nombre 0. Trois langages différents (le langage de l'existence, le langage des ensembles et le langage des nombres), mais trois façons différentes de dire une seule et même chose : la non existence ou rien ou néant, est une façon de dire ensemble vide, et une façon de dire 0.

A chaque langage correspond une science, la Science de l'Existence (pour le langage de l'existence), la Théorie universelle des ensembles (pour le langage universel des ensembles que je vous fais découvrir), et la Mathématique Nouvelle (pour le nouveau langage des nombres que je vous présente). Trois sciences et la seule et même science. Et il suffit simplement de changer de langage pour que cette science soit aussi la Physique Nouvelle, la Biologie Nouvelle, la Psychologie Nouvelle, la Logique Nouvelle, etc. Les sciences actuelles sont morcelées et atomisées, chacun travaillant dans sa spécialité et dans son jargon (son langage), sans qu'on se rende compte qu'on parle fondamentalement des mêmes choses, mais simplement dans des langages différents. Il s'agit simplement des approches différentes de la seule et même Existence, du seul et même Ensemble, du seul et même Univers. Quand la même science est abordée sous l'angle des nombres et des des ensembles, on l'appelle théorie des ensembles ou mathématique. Quand elle est abordée sous l'angle de la matière, on l'appelle la physique. Et quand elle est abordée sous l'angle de la vie ou du vivant, on l'appelle la biologie, etc. Et ce qu'on sait le moins encore, c'est que c'est la même science qu'on aborde sous l'angle de la sagesse et de la recherche du sens, et alors on l'appelle la philosophie. Et on sait encore moins que c'est exactement la même science qu'on aborde sous l'angle de DIEU, et alors on l'appelle la théologie ou la religion ! Quand il n'y a pas l'unité, l'union et l'unification de tous les langages, il y a des dérives et de graves lacunes dans chacun des domaines concernés. Mais le langage des ensembles est justement le langage même de l'union, de la réunion, de l'unification, de l'unité. Car le mot ENSEMBLE à lui seul veut dire : UNION !

La lacune de la science qui parle du Vide sans le Plein

Quand la notion d'ensemble est étudiée de la mauvaise manière, quand il n'est pas associé aux notions fondamentales de "chose" et d'"existence", quand on n'utilise la notion d'existence que comme terme purement technique vidé de son sens le plus naturel, dans la chose nommée quantificateur existentiel "IL EXISTE", alors il en découle une méthode scientifique appelée "méthode axiomatique". Ce qui correspond chez les physiciens à la notion d'axiome est la notion d'hypothèse ou de principe, qu'on pose au départ de la théorie de physique, et qui doit être confirmée par l'expérience, une autre grave erreur de procédé actuellement. En effet, ce que l'expérience ne confirme pas (ou même infirme !) n'est pas obligatoirement faux ou une non réalité ! L'expérience a ses limites, qui sont simplement celles de nos sens et de la logique avec laquelle on fait la science. Si par exemple vous cherchez à voir, à entendre, à sentir, à toucher, pref à percevoir d'une manière ou d'une autre une personne nommée Théophile Psykeon, que vous voyez, entendez, sentez, touchez, percevez tous les jours, mais sans la reconnaître ou sans pouvoir déduire logiquement que c'est elle (et même en déduisant faussement que ce n'est pas elle), l'expérience destinée à prouver la réalité de Théophile Psykeon peut être négative. Mais en fait le problème est la logique avec laquelle on tente de percevoir Théophile Psykeon. Si cette logique est aveugle, la perception est aveugle aussi, car on nie l'existence de quelque chose que l'on perçoit pourtant sous une autre forme, que ce soit Théophile Psykeon ou un adamaten ! C'est le problème de la physique actuelle et de sa méthodologie. Mais voyons comment ce problème se pose chez les mathématiciens et leur méthodologie : l'axiomatique.

L'un des axiomes importants de l'actuelle Théorie des ensembles est l'axiome de l'ensemble vide, qui dit : "IL EXISTE un ensemble n'ayant AUCUN ensemble comme élément". Et puisque la théorie des ensembles parle d'un axiome de l'ensemble VIDE, vous vous attendez très NATURELLEMENT que cette théorie parle aussi d'un axiome de l'ensemble PLEIN, n'est-ce pas ? Mais qu'on cherche dans l'actuelle Théorie des ensembles cet axiome de l'ensemble plein, cherchez bien, et vous ne trouverez pas d'axiome de l'ensemble plein ! Mais que devrait en fait être cet axiome ? Très simple, ceci : "IL EXISTE un ensemble ayant TOUT ensemble comme élément", ou : "IL EXISTE un ensemble ayant TOUS les ensembles comme élément". Cet axiome affirmerait donc l'existence de l'ensemble de tous les ensembles, ce que j'appelle l'ensemple plein. Mais cherchez dans l'actuelle Théorie des ensembles (telle que vous la présente par exemple Wikipédia) cet axiome et cet ensemble plein. On vous parlera évidemment de l'ensemble de tous les ensembles, mais pour vous dire qu'il n'existe pas, que son existence provoque un paradoxe ! Et quelle est en fait la raison ? Simple : la logique mathématique actuelle est mauvaise, elle ne part pas des bons fondements (la notion de chose et d'existence) pour bien traiter la notion d'ensemble. Le paradoxe qu'elle relève est en fait son propre paradoxe, celui que démontre le Théorème de l'Existence, celui qui revient à dire que la phrase : "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" est une vérité. On affirme donc ainsi que l'ensemble plein (ou ensemble de tous les ensembles) est un exemple de ces choses qui n'existent pas. C'est la même idée qui dans le langage des nombres est l'affirmation que l'"inverse de 0" n'existe pas, c'est-à-dire que la phrase : "IL EXISTE un nombre entier naturel X, tel que 1 / 0 = X" est fausse, ou plus simplement que l'égalité : "1 / 0 = 0" est fausse !

Voilà donc comment fonctionnent les sciences actuelles, voilà comment il peut s'y trouver des anomalies grosses comme une montagne, et qui pourtant peuvent paraître les plus normales du monde ! En effet, un minimum de bon sens permet de comprendre qu'une science où l'on parle du Vide sans le Plein est forcément malade quelque part ! Et c'est le Théorème de l'Existence qui permet voir le vrai visage de cette anomalie, car il fait voir que les sciences actuelles reposent sur la négation de ce théorème, qui est cette phrase : "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" ! Oui, ces sciences sont bâties sur la NON existence, dont cet énoncé est l'expression même ! A chacun de décider en son âme et conscience s'il reconnaît que cet énoncé, malgré toutes les apparences de vérité, est paradoxal et faux; tandis que son contraire, "TOUTE chose existe", malgré les apparences de fausseté, est cohérent et vrai !

Si on décide de ne pas fonctionner avec le Théorème de l'Existence et de bâtir la science sur lui, si on décide de fonctionner avec sa négation et de bâtir la science sur elle, alors on continuera à avoir constamment Théophile Psykeon ou un adamaten devant les yeux, et pourtant ne pas le voir, et continuer à nier son existence. Et on continuera à faire des scienes incapables de percevoir Dieu, alors que Dieu est tout le temps devant leurs yeux. L'Infini (ou 1 / 0) ou le Plein ou l'Oméga continuera à être impossible ou insaissable, et pourtant c'est de lui qu'on parle sous une autre forme, le Zéro (ou 0) ou le Vide ou l'Alpha. Un pygmée ou un paysan Kabyè rempli de kinaou et de hama (une faculté parapsychique et un pouvoir que les sciences actuelles ignorent) peut pourtant être l'adamaten sous une autre forme, sous une forme cachée. Oui, on nie l'existence du géant Infini, alors qu'on le connaît sous sa forme lilliputienne, l'humble 0, qui restera toujours orphelin de son inverse, le Vide cherchera toujours son âme soeur, le Plein.

Le problème des sciences actuelles est qu'elles ne fonctionnent pas avec la Logique de Cycle (ou Logique d'Alter) dans laquelle les deux extrêmes se rejoignent, grâce à laquelle on perçoit que les deux sont les deux formes d'un seul et même être. Mais on fonctionne avec la Logique de Droite (ou Logique de Non), dans laquelle les deux extrêmes sont séparés, ce qui est la cause de la grande cécité. Dans ces conditions, des expérimentations peuvent déclarer une chose comme non existence, tout comme les démonstrations avec les axiomes peuvent déclarer que l'ensemble plein est une non existence, et pourtant se tromper ! Oui, une science exacte comme les mathématiques ou la physique actuelles peut mentir en disant pourtant vrai ! Et que dire alors de la biologie (et en particulier la théorie de l'évolution et sa cousine l'anthropologie), qui est loin de prétendre à l'exactitude de la mathématique ou de la physique, et qui comme les autres sciences est tributaire de celles-ci pour établir ses conclusions ! Audit très accablant pour les sciences actuelles à commencer par leur reine et chef d'orchestre, les mathématiques. Très accablant, surtout si les pratiquants de ces sciences, mis devant les faits que je présente, font preuve d'une mauvaise foi et d'une malhonnêteté intellectuelle, et pire !, oeuvrent pour etouffer la Science Nouvelle ! Là, la colère de Dieu monte (Romains 1 : 18-20), tout simplement, et il y a de quoi...

En effet, je viens simplement de montrer en profondeur, pourquoi 1 / 0 = 0 est une vérité scientifique, pourquoi c'est le chaînon manquant dans les quatre opérations élémentaires faites avec 1 et 0, à savoir : 1 + 0 = 1; 1 - 0 = 1 ; 1 x 0 = 0 ; et ... : 1 / 0 = 0 ! Voilà un résultat que les "nuls" en maths trouvent spontanément et naturellement, sans réfléchir. Un résultat que les forts en maths et les grands savants qui font la science ne trouvent pas, en réfléchissant beaucoup ! C'est peut être ça le problème : ils réfléchissent trop, ils philosophent, ils se compliquent trop l'existence, au lieu de se laisser guider simplement par l'existence...

Si on veut vraiment bien parler des ensembles ou autres, si on veut bien commencer la science, il faut commencer avec la notion d'existence. Il faut scientifiquement traiter cette notion de base, pour pouvoir ensuite bien dire si "Ceci existe" ou si "Cela existe". Sinon la science prend un faux départ, on en vient à enfoncer dans le crâne de tous qu'il est impossible de "diviser par 0", on en vient à donner 0 à des élèves qui disent une vérité sublime : "1 / 0 = 0" ! Le secret même de l'Univers est ainsi exprimé ! On s'imaginait que si un jour on découvrait la Formule de l'Univers ou Formule de Dieu, ce serait quelque chose de terrible !, incompréhensible pour le commun des mortels, que seuls les grands savants de ce monde, plus grands ou plus petits qu'Einstein, peuvent comprendre. Ce sont eux qui expliquent E = mc² (la célèbre formule de la relativité) aux communs des mortels. Mais, comble de l'ironie (de Dieu...), la formule même de l'Univers est en fait une simple égalité, une simple opération de division : "1 / 0 = 0" ! Incroyable mais vrai ! On pouvait même apprendre cela dès l'école primaire, juste après la maternelle... Eh oui...

Comment calculer avec le Cycle

Je vais terminer en montrant simplement comment faire la chose réputée impossible : diviser par 0 ! C'est impossible dans la Logique de Droite (la logique actuelle), mais il n'y a rien de plus simple dans la Logique de Cycle. Ce sera l'occasion de voir brièvement comment on raisonne, on calcule et on voit les choses dans celle logique.

Dans la Logique de Cycle, toute chose est un cycle, et toute chose est un nombre. Mais je n'entrerai pas dans la démonstration de ces affirmations, car je vais simplement ici aider à comprendre la chose très simple qu'est un cycle, la bonne façon de concevoir les nombres, à savoir le cycle. Nous connaissons dans la vie courantes beaucoup d'exemples de nombres en tant que cycles, mais sans savoir que c'est ainsi qu'on devrait concevoir tous les nombres, toutes les choses ! Un des exemples est le cycle de la semaine : dimanche, lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche, lundi, ... , et ainsi de suite. Vus ainsi, on ne perçoit pas que les jours de la semaine sont des nombres, que la semaine est un nombre et que ce nombre est un cycle, ce que j'appelle le cycle 7. Au lieu d'adopter cette appellation des jours de la semaine, on aurait pu appeler 0 le dimanche, 1 le lundi, 2 le mardi, etc. Le samedi sera alors le 6, et le dimanche suivant le 7, mais alors on a bouclé le cycle de la semaine, ce dimanche est de nouveau un 0, etc. Ce 7 s'écrit : 0 = 7, pour dire qu'à 7 on revient à 0. Cela donne la séquence : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 0, 1, 2, .... C'est comme cela que l'on compte dans le cycle 7. Dans ce cycle, le nombre 7, pourtant fini, est appelé l'infini du cycle, ce qui veut dire que 1 / 0 = 7 dans le cycle 7, je précise dans le cycle 7 !

Cela peut surprendre que 7 soit appelé infini, mais la raison est très simple à comprendre. En effet, 7 signifie "7 unités", et tout dépend justement de l'unité en question, ici le jour, quand on parle du cycle de la semaine. Quand on considère cette unité, 7 ne paraît pas être un nombre infini, mais ce n'est qu'une apparence. En effet, 1 jour (cette unité donc), c'est 24 heures, c'est 1440 minutes, c'est 86400 secondes, c'est 5184000 tierces, etc. Plus on divise l'unité en sous-unités, plus le nombre grandit, ce qui veut dire donc que 7 est toujours une infinité de quelque chose, et en attendant, c'est 7 x 5184000 tierces ! Et si on convertit le jour en nanosecondes, une très petite unité de temps qui vaut un milliardième de seconde, alors 7 jours c'est 7 x 86400 x 1000000000 nanosecondes. Et peut aller ainsi aussi loin que l'on veut. Voilà en quel sens 7 est infini, tout en restant toujours fini ! Quand on dit cycle 7 ou 7 en tant que cycle, cela signifie que l'on considère 7 unités, et les unités sont elles-mêmes des cycles, qui à leur tour sont des cycles, etc. Par exemple, l'unité, le jour, est un cycle de 24 heures, donc un cycle 24, qui s'écrit 0 = 24. Comme tout le monde le sait, à 24 h ou 24 on revient à 0h, donc à 0. Et l'heure est un cycle de 60 minutes, un cycle 60 donc, qui s'écrit 0 = 60, car quand l'aiguille des minutes de l'horloge fait un tour et revient à 0, il est écoulé 60 minutes ou 1 heure, etc. A ces cycles correspondent un cycle physique, par exemple la rotation d'une aiguille, le tour de la terre sur elle-même pour faire le jour, son tour autour du soleil pour faire l'année, etc. On connaît bien cet exemple de la division du temps, on sait comment fonctionne cette logique cyclique des nombres. Mais malheureusement, on ne se rend pas compte que c'est la logique de tous les nombres, que tout l'Univers fonctionne ainsi, que c'est avec cette conception des nombres que toute la science doit être faite.

Tout nombre est un cycle, et pour calculer avec un nombre, il faut préciser dans quel cycle il est considéré. Dans le cycle 7 par exemple, la division 1 / 0 donne comme résultat 7, parce que 1 / 0 est l'opération pour dire "infini", et que l'infini est 7 dans ce cycle, comme je viens de l'expliquer. Dans le cycle 7, l'opération 2 + 3 donne normalement le résultat 5, car 5 est un nombre du cycle (car strictement inférieur à 7). Il en est de même pour l'opération 2 x 3, qui donne 6, un nombre du cycle lui aussi. Mais l'opération 4 + 5 n'est pas une opération du cycle 7, car son résultat est 9, un nombre supérieur à 7. Dans le cycle 7, on a la surprenant égalité : 4 + 5 = 2, car dans ce cycle, à 7 on revient à 0, donc 8 est le nouveau 1, et 9 est le nouveau 2. Pour la même raison, dans ce cycle, on a l'opération : 4 x 5 = 6. Explication : On a 4 x 5 = 20, mais 20 est ignoré dans le cycle 7. On a 20 = 7 + 7 + 6, ce qui veut dire qu'on fait deux tours de ce cycle (7 + 7), on revient deux fois 0, car 7 c'est un nouveau 0, puis 14 sera un nouveau 0, puis 20 sera 6, et 21 sera 7 donc un nouveau 0, etc. Si on veut donc effectuer "normalement" l'opération 4 + 5 = 9 ou 4 x 5 = 20, il faut donc se placer dans un cycle adéquant, comme par exemple le cycle 24, qui s'écrit 0 = 24. L'infini de ce cycle est 24, et on a 1 / 0 = 24. On a plus de calculs qui peuvent se dérouler "normalement" dans ce cycle, mais un calcul comme 5 x 7 = 35 est hors-cycle, et son résultat dans ce cycle est 5 x 7 = 11. Apparemment bizarre pour la logique habituelle, mais très logique si on raisonne avec la logique de cycle. 35, cela fait un tour de 24 plus 11. Mais dans un cycle 100 par exemple, qui s'écrit donc 0 = 100, et dans lequel 1 / 0 = 100, ce calcul 5 x 7 = 35 se fait normalement, car il n'y a pas de dépassement de l'infini du cycle, à savoir donc 100. Et tous ces calculs faits jusqu'ici se font plus "normalement" encore dans le cycle 1000, et plus encore dans le cycle 1000000, et plus encore dans le cycle 1000000000, etc. Plus généralement, le cycle X s'écrit 0 = X, et dans ce cycle on a : 1 / 0 = X, et X est l'infini du cycle. Plus X est grand, plus les calculs se font normalement dans le cycle, et plus appeler X l'infini prend tout son sens. Quand on dépasse ce cycle, il faut simplement compter le nombre de tours de cycles qui conduisent au dépassement et les soustraire, pour se ramener dans le cycle. C'est très simple !

Je viens de démontrer comment raisonner avec le cycle, et comment la phrase : "IL EXISTE un nombre entier naturel X, tel que 1 / 0 = X", fausse dans la Logique de Droite, la logique actuelle, est pourtant un théorème très simple dans la Logique de Cycle ! J'ai commencé avec comme exemple le cycle 7. Mais il y a aussi le cycle 1, qui s'écrit simplement 0 = 1, l'une des formes sous laquelle j'exprime souvent la notion de Cycle, mais aussi le Théorème de l'Existence ou Théorème de Dieu. Dans ce cycle, on a 1 / 0 = 1, c'est-à-dire donc l'infini de du cycle 1 est 1. Autrement dit encore, 1 est la manière de dire "infini" dans le cycle 1.

Et enfin, on en vient au cycle le plus fondamental, le cycle 0 ou cycle Alpha. Il s'écrit simplement : 0 = 0. Vous savez maintenant comment ça fonctionne. Dans ce cycle, on 1 / 0 = 0 ! Et voilà ! On retrouve notre vieille question, celle par laquelle nous avons commencé, la quatrième des opérations élémentaires avec 1 et 0, à savoir : 1 + 0 = 1 ; 1 - 0 = 1 ; 1 x 0 = 0, et...1 / 0 = 0 ! On retombe sur nos pattes. Tout devient simple et logique avec le Cycle !

Cette opération 1 / 0 = 0 traduit donc simplement que 0 est la manière de dire "infini" dans le cycle 0, dans le cycle fondamental. Autrement dit, Zéro = Infini ou Alpha = Oméga. Et maintenant, comment s'écrirait le cycle Infini ? Eh, puisqu'on a parlé de tous les cycles, jusqu'au cycle 0. Rappelons que d'une manière générale le cycle X s'écrit : 0 = X. Dans ce cycle, X est la manière de dire "infini". Autrement dit : 1 / 0 = X. C'est ce qu'on a appliqué à tous les exemples précédents. Et maintenant donc, comment s'écrirait le cycle Infini ? Simple : 0 = Infini. Autrement dit : Zéro = Infini ou Alpha = Oméga. La définition de l'infini dans ce cycle Infini, est justement l'Infini. Et l'opération est : 1 / 0 = Infini. Conclusion : le cycle Infini, c'est simplement le cycle 0, et la boucle est bouclée, tous les cycles sont définis, de 0 à l'Infini. Et à l'Infini, on boucle le tour et on revient à Zéro. Tout est d'une cohérence parfaite, il n'y a plus de place pour le paradoxe avec le Cycle, tous les paradoxes se transforment en cohérence quand on fait la science dans la Logique de Cycle. Ecrire une chose comme 0 = 1 ou 1 / 0 = 0, a l'air d'une absurdité, d'un paradoxe, d'une impossibilité. Mais il suffit de comprendre qu'on exprime en réalité le Cycle, le cycle 1 dans le cas de 0 = 1, et le cycle 0 (ou cycle Infini) dans le cas de 1 / 0 = 0, pour qu'il n'y ait plus d'absurdité, de paradoxe ou d'impossibilité.

La vraie absurdité et vrai paradoxe est en fait de nier le Cycle, de nier le Théorème de l'Existence. Alors on se trouve en train dire : "IL EXISTE des choses qui n'existent pas", ce qui est un paradoxe. La seule possibilité pour cette phrase de ne plus être un paradoxe, c'est de la comprendre dans la Logique de Cycle. Dans cette logique, une chose qui n'existe pas est simplement une chose qui n'existe pas dans un cycle donné. Par exemple, dans le cycle 24, qui s'écrit donc 0 = 24, le nombre 24 lui-même n'existe pas, puisque justement à 24 on a bouclé le tour du cycle et on est revenu à 0. Le 25 non plus n'existe pas dans ce cycle, car 25 c'est 1, 26 c'est 2, etc. Tout ce qui est supérieur ou égal à 24 n'existe donc pas dans le cycle 24, donc la phrase "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" est vraie dans un certain sens. Dans le cycle 24, ces choses sont tout ce qui est supérieur ou égal à 24. Mais ces choses existent dans un autre cycle. Les nombres 24, 25, 26, 72 ou 99, par exemple, qui n'existent pas dans le cycle 24, existent dans le cycle 100 par exemple. La phrase contradictoire "IL EXISTE des choses qui n'existent pas" n'a donc un sens que dans la Logique de Cycle. Et d'une manière générale, tout ce qui est paradoxal dans la logique traditionnelle (que j'appelle Logique de Droite ou Logique de Non), devient cohérent dans la Logique de Cycle ou Logique d'Alter. C'est pourquoi il faut simplement faire la science dans cette nouvelle logique, la logique de la Science Nouvelle.

Nous venons de découvrir que les nombres sont en fait des cycles. Quand je dis par exemple "nombre 7" ou "nombre 24", cela signifie "cycle 7" ou "cycle 24". Dans un cycle donné, les résultats des calculs ne doivent pas dépasser (ou être égaux à) l'infini du cycle, c'est-à-dire simplement le nombre en question. Dans le nombre 7 ou cycle 7, les calculs ne doivent pas dépasser 7 ou égaux à 7, car à 7 le cycle est bouclé et on revient à 0. Si le résultat est supérieur ou égal à 7, on doit soustraire le multiple de 7 (ce qui signifie le nombre de tours de cycle) nécessaire pour se ramener à un résultat dans le cycle (c'est-à-dire strictement inférieur à 7). Et c'est ainsi pour tout cycle. Pour tous les calculs dont le résultat reste dans le cycle, ces calculs se font normalement, sans qu'on se rende compte qu'on est dans un cycle. Par "normalement" il faut entendre très précisément que les calculs se font dans le cycle fondamental, le cycle 0 ou cycle Infini. Quand je fais par exemple "normalement" 45 + 68 = 113 sans m'inquiéter dans quel cycle je suis, cela veut dire simplement que je suis dans le cycle 0 ou cycle Infini. Mais si je précise que je suis dans le cycle 7, alors je dois convertir 45 et 68 dans ce cycle, ce qui donne 3 et 5. En faisant donc 45 + 68, on fait donc 3 + 5, ce qui donne 8. Mais 8 n'existe pas dans ce cycle, et dans ce cycle c'est 1, ce qu'on trouve aussi en convertissant 113 dans le cycle 7. Dans le cycle fondamental (le cycle 0 ou cycle Infini), tous les calculs se font donc normalement comme maintenant, ce qui veut dire qu'on a avec le Cycle tous les résultats et les avantages des sciences actuels. On ne perd donc rien avec le Cycle, ce qui est un excellente chose ! Mais par contre, avec le Cycle, on gagne une nouvelle chose supplémentaire et extraordinairement importante, c'est le calcul 1 / 0 = 0, la fameuse division par 0, impossible avec les sciences traditionnelles. Le Cycle nous permet simplement de combler toutes les lacunes actuelles et d'aller beaucoup plus loin dans la science. Tout devient désormais possible avec 1 / 0 = 0,

Avec toutes ces explications, vous pouvez maintenant trouver la réponse à l'équation : x = x + 1. Vous savez, le problème qui consiste à trouver un nombre entier naturel qui reste le même quand on lui ajoute 1. J'avais pris l'exemple de 6, pour faire remarquer que quand on fait 6 + 1, on trouve 7, le résultat ne reste pas 6. Et plus généralement, quand on ajoute 1 à un nombre, il augmente. On ne comprenait donc pas comment le nombre pouvait rester lui-même ! Ce problème semblait impossible parce qu'on fonctionnait avec une logique qui interdisait de dire : 6 = 7, ou 5 = 6, ou 4 = 5, ou 3 = 4, ou 2 = 3, ou 1 = 2, ou 0 = 1 ! Mais ce problème est possible avec le Cycle, et précisément ici le cycle 1. Dans ce cycle, 0 est une solution, car on a : 0 = 0 + 1, c'est-à-dire donc 0 = 1 ! Et il existe une autre importante solution, qui consiste à résoudre normalement cette équation,. Si vous avez une petite connaissance de calcul algébrique, vous faites : x = x + 1; x - x = 1; 0x = 1; donc x = 1 / 0. Cela signifie que la solution est l'Infini. Cette opération de division par 0 était interdite par la logique actuelle, et maintenant on la fait allègrement ! Elle nous fait aboutir à la conclusion que l'Infini est solution de cette équation : Infini = Infini + 1. Le Cycle permet de trouver le fameux nombre qui si on lui ajoute 1 reste inchangé ! Ce nombre est l'Infini, et le Cycle nous dit que c'est aussi 0 !

Cette propriété : Infini = Infini + 1 est connue dans les mathémtiques actuelles, dans la branche des mathématiques appelée l'"analyse", sous la forme de "limite infinie". On sait que "la limite de x + 1 quand x tend vers l'infini est toujours l'infini, ce qui peut grosso modo s'écrire : Infini = Infini + 1. On connaît cette propriété aussi dans l'"arithmétique transfinie" dont j'ai déjà parlée. Mais comme je l'ai dit, on ne calcule malheureusement pas avec ces choses nommées "cardinaux transfinis", comme on le fait naturellement avec les nombres naturels (ou les nombres réels). Mais maintenant, on calcule normalement avec le Cycle, avec la magie du Cycle, le miracle du Cycle ! Le Cycle, c'est une autre manière de parler du Théorème de l'Existence ou Théorème de Dieu, qui dit : "Toute chose existe". Car avec le Cycle, tout est possible, tout existe, Dieu existe !

Le boson de Higgs existe...

Les physiciens, qui s'efforcent de nous faire découvrir les secrets de l'Univers, mettent en ce moment même en oeuvre une gigantesque expérience dans le LHC, le très grand accélérateur de particules du CERN près de Genève, pour répondre entre autres à une question du genre : "Le boson de Higgs existe-t-il ?" C'est de leur côté à eux la même question fondamentale que celle posée en mathématiques, comme nous venons de le voir. Et c'est simplement la question fondamentale posée à la petite fille de 3 ans et demi ! Si comme les mathématiques actuelles la physique n'avait pas pris un faux départ, si la physique avait démarré à partir de la notion d'existence, les physiciens n'auraient jamais eu à se poser cette question de l'existence du boson de Higgs ! En effet, ils auraient compris que le boson de Higgs existe toujours, parce que "Toute chose existe" dit le Théorème de l'Existence ou Théorème de Dieu ! Le but de cette expérience serait simplement de tenter de trouver ce qui existe (comme quand on cherche un article donné dans un magasin où on sait qu'il existe), et pas de se demander si le boson existe ou non. Le but de la science serait de chercher le moyen de fabriquer la machine à remonter le temps, ou à nous faire voyager au delà de la vistesse de la lumière, et non pas de se demander si de telles choses sont possibles (c'est-à-dire si une solution existe), et pire, d'affirmer qu'il est impossible d'aller plus vite que la lumière, comme on l'affirme actuellement avec la relativité d'Einstein.

La science avec Dieu, c'est simplement apprendre à devenir Dieu, à créer la vie et chercher la solution pour ressusciter les morts, plutôt que de chercher l'origine de la vie, ou de se demander si la ressurection des morts est possible ! Tout est dit dans la Genèse : "Au commencement Dieu créa les cieux et la terre" (Genèse 1 : 1). Tout est dit dans l'Apocalypse : "Je suis l'Alpha et l'Oméga, le Commencement et la Fin" (Apocalyspe 21 : 6). Pourquoi s'être tant compliqué l'existence, là où elle si simple avec l'Existence ? Pourquoi s'être tant compliqué la vie, là elle si simple avec Dieu ? Maintenant avec Dieu, c'est plus qu'une nouvelle science, une de plus dans la forêt des sciences. Maintenant, c'est simplement la Science Nouvelle...


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