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Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
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Le secret pour faire la Science du TOUT

J'ai écrit le 11 janvier 2008 dans le forum français Futura-Science (Forum FS Generation ) l'article intitulé "Le secret pour faire la Science du TOUT" (ci-dessous), quil a été censuré (supprimé !) par un "modérateur" répondant aux initiales JPL. Voici ce que le forum m'écrit le 14 janvier 2008 :

"Bonsoir

Vos messages ont été supprimés car nous sommes sur un forum scientifique et non sur un forum pseudo-scientifico-philosophico-ésotérique-pour-génie-méconnu.

Je vous prie de ne pas renouveler ce genre de message fleuve qui n'a rien à voir avec ce qui est unanimement considéré comme Science.

Désolé.

JPL"

Cliquez ici pour lire ma réponse à ce JPL (intitulée Où est la frontière de la Science ?), pour lui exprimer ma profonde indignation (colère même !) et tout ce que je pense de son attitude, semblable en tout point à celle des "modérateurs" des autres forums, Comlive par exemple, actuellement Livenet (voir Guerre des logiques, guerre dans le forum).

Ce genre de réactions face à ce qui sort des sentiers battus s'appelle tout simplement le SECTARISME (voir Qui est Hubertelie ? et Universalité contre Sectarisme). Ce sont les réactions d'une science sectaire, dogmatique et intégriste. Et sur ce point, elle n'a absolument rien à reprocher aux Témoins de Jéhovah, qui appellent leur religion la "Vérité", et qui ne réagissent pas différemment que JPL face à ce qui unanimement chez eux "n'a rien à voir avec ce qui est considéré comme la Vérité".

La Science du TOUT, c’est-à-dire la Science de TOUTES les choses, est-elle vraiment possible ? Il est évident qu’une telle Science engloberait aussi la Religion et en particulier Dieu. En effet, une science qui se dit la Science du TOUT mais qui ne répond pas enfin aux questions au sujet de Dieu (la plus élémentaire étant la question de son existence), et pire !, qui exclurait la CHOSE nommée Dieu, ne serait pas vraiment la Science du TOUT !

Alors Dieu existe-il ? , Le graviton existe-il ? Le boson de Higgs (surnommé souvent « particule Dieu ») existe-il ? La Mécanique quantique (science de l’infiniment petit) et la Relativité (science de l’infiniment grand) sont-elles compatibles ? La Science et la Religion sont-elles compatibles ?

Cette question est une tête de discussion dans un autre forum auquel je participe également, et j’y ai apporté ma réponse dont l’essentiel est le texte qui va suivre. Cette réponse est noyée dans une myriade d’interventions, où l’originalité de ma réponse ne peut qu’avoir du mal à apparaître. Il m’a semblé donc intéressant d’ouvrir ici une tête de discussion autour de la réponse que j’ai proposée à la question : « La Science et la Religion sont-elles compatibles ?», sujet plutôt classique et récurrent, un grand marronnier dans les questions qu’on se pose depuis longtemps, un autre grand marronnier du même genre étant la question de l’existence de Dieu, un autre encore étant de savoir si cette existence peut ou non être scientifiquement démontrée. Mais il me paraît intéressant d’élargir toutes ces questions, de les placer sous la grande question suivante : « La Science du TOUT est-elle vraiment possible ? » Si oui alors comment s’y prendre pour espérer réaliser enfin cette science ? Le lecteur est alors invité dans cette tête de discussion à apprécier ma réponse à la question et à la fin je lui indiquerai mon site dont l’objet est cette question même ! Mais en attendant, entrons dans le vif de la tête de discussion que je propose : « Le secret pour faire enfin la Science du TOUT ».

Je ne demande qu’une simple chose au lecteur : avant de me jeter des tomates ou pire, des pierres pour me lapider, qu’il s’assure d’avoir bien compris le fond de ma pensée, de mes raisonnements, des démonstrations (oui le fond du problème), d’avoir compris la très grande nouveauté et originalité que j’apporte. Le fait que cela sorte des schémas de pensée classiques (et que cela puisse même paraître très étrange) n’est pas du tout une raison de se livrer à des injures et à des attaques sur la personne. C’est la différence d’approche et de point de vue, bref c’est tout simplement la DIFFÉRENCE, qui fait la richesse d’un débat et qui fait avancer dans de nouvelles directions jusque là ignorées. Bref, c’est la DIFFÉRENCE qui innove et non pas le statu quo. De même donc, avant de me traiter de tout et de n’importe quoi, de traiter mon site de même (qu’on le consulte après avoir lu cet article ; mais pour les pressés et les curieux le voici : http://hubertelie.com, J), qu’on s’assure d’avoir bien réfléchi aux problèmes que je soulève et d’avoir bien compris les réponses que j’y apporte. Merci d’avance, et place maintenant au un nouveau débat sur la Science !

La question de la science, c'est aussi la question de la méthodologie. Je partage grosso modo la classification des sciences qui est généralement proposée. Je vais y apporter des précisions selon mon point de vue, qui n'engage que moi.

La question de savoir ce qu'est une science, donc aussi de faire la part entre science et NON science, n'est pas aussi simple que cela. Elle devrait l'être, car on n'aurait jamais dû avoir se poser des questions comme celle de savoir ce qu'est une science, de savoir si la Science et la Religion sont compatibles, ou de savoir si la Science du TOUT est possible. Si on en est venu à se poser des questions de ce genre, c’est parce quelque est faussé au départ, quelque chose est faussé dans les fondements mêmes du raisonnement, dans leur RACINE même.

Je n’emploie pas le mot RACINE pour rien, car ce mot évoque évidemment l’Arbre ! L’arbre a des propriétés très simples à observer, qui analysées livrent des secrets très étonnants, et répondent enfin à des questions très fondamentales, qu’on croyait jadis très difficiles à résoudre, comme par exemple les questions que je soulève…

Je vais en soulever d’autres, dont le but est de répondre progressivement et méthodiquement aux précédentes. Voici donc la première : Avons-nous remarqué que dès qu’on parle de science, on emploie très naturellement le langage de l’Arbre ? Par exemple on dit que la trigonométrie est une branche de l’algèbre, elle-même branche des mathématiques. Et aussi la thermodynamique quantique est une branche de la thermodynamique, elle-même branche de la physique. Etc. On a donc compris le sens de cette question : la science ne peut se passer du langage de l’Arbre pour définir ses domaines, ses sous-domaines, etc. Et ce qui est très intéressant, c’est que ce langage de l’Arbre transcende ce qu’on appelle actuellement sciences, et s’applique de la même manière à tout domaine. Par exemple la métaphysique est une branche de la philosophie, et le christianisme est une branche de la religion, etc. Commence-t-on à voir où je veux en venir ? On a donc un certain langage, qui s’applique aussi bien à la science, à la philosophie qu’à la religion, ce qui répond déjà en partie à la question : « La Science et la Religion sont-elles compatibles ? » En effet, il est facile de trouver un langage commun qui non seulement décrit les deux domaines, mais englobe aussi tout domaine qu’on puisse considérer. Ce langage est donc une bonne piste d’unification de tout ce qui était conçu comme séparé.

Le langage de l’Arbre est un langage universel, et pour tout dire, ce que j’appelle le langage de l’Arbre n’est qu’une autre manière de parler du langage des domaines, et plus généralement du langage des ensembles. Là où je dis par exemple : « X est une branche de Y », j’aurais pu simplement dire : « X est un sous-domaine de Y », ou encore simplement « X est un sous-ensemble de Y ».

Avant 1882, la notion d’ensemble n’était pas une notion scientifique, mais une simple notion du langage courant, comme par exemple aujourd'hui encore des notions comme existence ou chose, qui attendent leur science. C’est Georg Cantor qui pour la première fois a fait de la notion d’ensemble une notion scientifique, avec sa Théorie des ensembles. Mais parlons d’abord de ce langage sous sa forme de langage de l’Arbre, pour bien comprendre la nouvelle théorie des ensembles que je propose (la Théorie universelle des ensembles), qui est bâtie sur les très précieux enseignements qu’on peut tirer de l’arbre, quand il est très bien observé, mieux qu’on le fait d’habitude.

Soit donc donné un arbre A, et deux de ses branches X et Y. Que penser d’une question du genre : « X et Y sont ils compatibles ? » La réponse est alors évidente et elle est OUI, puisque X et Y appartiennent au même Arbre. L’Arbre fait leur unité, les deux sont des branches du même Arbre, comme par exemple la Mécanique quantique et la Relativité sont des branches de la physique. Alors que répondre à la question suivante : « La Mécanique quantique et la Relativité sont-elles compatibles ? » Oui ou Non ?

C’est justement là où on voit qu’il y a un gros problème dans les fondements des sciences actuelles, dans leurs racines, qu’il faut résoudre. Parce qu’en fait les deux branches sont compatibles du simple fait qu’elles sont des branches du même Arbre, la physique, et qu’elles fonctionnent avec la méthodologie générale de la physique, qui leur est commune, sinon on ne les aurait pas classées comme branches de la physique. Et de plus on parle par exemple de Mécanique quantique relativiste, et pourquoi pas aussi de Relativité quantique, ce qui est évidemment un facteur de compatibilité des deux domaines, puisque chacun s’applique à l’autre pour créer un sous-domaine de celui-ci, une branche donc !

Mais les gens informés savent aussi que la Mécanique quantique (physique de l’infiniment petit) et la Relativité (physique de l’infiniment grand) sont incompatibles, en ce sens que les deux branches de l’arbre de la physique ont un grand mal à s’unifier pour former une seule et même science, plus puissante que chacune d’elles prises séparément. Et c’est là encore qu’il est de plus en plus manifeste qu’il y a un problème dans la Racine des sciences, ici dans la racine de l’arbre de la physique. Si tel n’était pas le cas, la Mécanique quantique et la Relativité n’auraient pas du mal à s’unifier pour former une branche plus grosse de la physique. Si on ne voit pas le problème de fondement ou de racine dans ce que je viens de faire observer, alors je m’en vais le mettre en évidence dans le fait suivant :

Regardez bien un arbre et vous allez découvrir une de ses propriétés aussi simple que très puissante : Considérez deux blanches X et Y quelconques de l’arbre, peu importe lesquelles. Et vous allez remarquer ceci : vous êtes capable de trouver dans l’arbre la première branche qui porte à la fois X et Y, et cette branche est alors la branche commune à X et Y, la branche qui les unifie, qui les rend parfaitement compatibles ! En dernier recours, c’est le tronc de l’arbre qui réalise cette unification, si X et Y dérivent directement du tronc (ce qu’on appelle donc les branches principales du tronc ou de l’arbre). Si donc (et c’est ici le point clé) vous n’arrivez pas à trouver cette branche commune, c’est tout simplement parce que X et Y n’appartiennent au même arbre, mais à deux arbres différents et séparés, comme par exemple actuellement la Science et la Religion.

Une autre propriété très importante de l’arbre, et qui intéresse la question : Partez dans l’arbre de n’importe quelle branche X, et vous pouvez naviguer dans l’arbre de manière continue jusqu’à atteindre n’importe qu’elle autre branche Y. Si la Science et la Religion étaient les branches d’un même arbre qui les unifie, et si la branche X s’appelle par exemple Science et Y la branche Religion, alors vous pouvez, en partant de la branche Science, et sans aucune séparation et en toute continuité naviguer dans l’arbre pour atteindre la branche Religion, et vice-versa ! Cela signifierait par exemple qu’un cours de mathématiques, pour peu qu’on aille assez loin dans le cours, peut déboucher sur un cours de religion où on parle de Dieu ! Et réciproquement, on parle de Dieu et de religion, et pour peu qu’on aille assez loin dans la navigation, dans les développements, on aboutit aux mathématiques et au nombres, sans aucune séparation ! Cela revient simplement à dire que le même arbre est à la fois Science et Religion, tout dépend simplement de l’angle sous lequel on l’aborde, c’est-à-dire donc de la blanche de laquelle on part !

Et actuellement, la Science et la Religion n’arrivent pas à s’unifier dans un même Arbre (qui serait donc l’unification de la Science et de la Religion), car les deux sont tout simplement deux arbres séparés de la Forêt des connaissances ou des domaines.

Une Forêt donc !, ce qui signifie Arbres au pluriel. Qu’on observe encore un arbre et on découvrira une troisième importante propriété à laquelle on ne porte pas beaucoup attention : une branche de l’arbre est tout simplement un arbre dans l’arbre ! à son niveau, la branche est tout simplement un autre arbre, avec ses propres branches, chacune étant à son tour un arbre qui a à son tour ses propres branches, etc. C’est sans doute l’une des plus importantes propriétés d’un arbre, qui fait de l’arbre un parfait modèle pour une bonne théorie des ensembles, aussi naturelle qu’un arbre.

Ainsi donc l’arbre a l’étonnante propriété suivante : il est un arbre unique, et pourtant il est aussi une Forêt ! Mais la grande différence ici est que les arbres s’organisent dans une structure aussi magnifique que très puissante : la structure arborescente ! On retrouve cette structure PARTOUT, à cause de sa puissance et de son UNIVERSALITÉ ! Par exemple, en informatique, la structure des explorateurs (dossiers et sous-dossiers, jusqu’aux fichiers qu’on peut comparer aux feuilles ou aux fruits de l’arbre) est une structure arborescente. Et dans le même domaine, les chemin d’accès (qu’on appelle aussi techniquement URL), qui partent d’une racine (qui peut être un dossier, la racine d’un disque, un cédérom, un dvd-rom, une clé, ou http:// quand il s’agit d’Internet) et qui aboutit à une cible donnée, en général un fichier, est une structure arborescente. Cette structure est extrêmement puissante, et son modèle scientifique général est tout simplement la structure des ensembles. Là où je dis « arbres, branches, feuilles, etc. »), il faut comprendre dans la structure des ensembles : « ensembles, sous-ensembles, éléments, etc. ». Donc, comme langage scientifique, le langage de l’Arbre est tout simplement la langage des ensembles. Donc une bonne science des ensembles est une science de l’Arbre (c’est-à-dire de la structure arborescente), donc la science parfaite pour unir TOUT dans le même Arbre, dans le même Ensemble, dans la même Science (j’y reviendrai).

J’espère qu’il devient évident maintenant à la lumière de ces explications, qu’il existe actuellement un grand problème de fondement, de Racine, qui fait qu’on se demande aujourd'hui par exemple si la Science et la Religion sont compatibles, ou si la Science du TOUT, la science qui fait de TOUT un seul Arbre, est possible. Le problème ne se poserait pas si on avait dès le départ trouvé la Racine (donc l’Arbre) qui unifie entre autres ces deux domaines et tous les domaines !

Et le problème serait moindre si la Science constituait un seul Arbre. Mais là encore la Science se décline actuellement résolument au pluriel, on dit donc « les sciences » et non pas « LA Science », comme je viens de l’expliquer. En effet, on n’arrive pas à trouver des principes communs, une Racine commune donc qui ferait des sciences une seule Science, c’est-à-dire donc de simples branches de même la Science fondamentale. Et pire !, comme je l’ai aussi expliqué, la Mécanique quantique (physique de l’infiniment petit) et la Relativité (physique de l’infiniment grand) ne s’unifient pas vraiment dans une branche (ou sous-arbre) dans l’arbre de la physique. Cela veut dire donc que cet arbre a lui-même un problème de racine, un problème de fondement, sinon ses branches s’unifieraient très simplement, aussi simplement que les branches d’un arbre ! Et qui dit problème de fondement dit aussi un problème de méthodologie, car la racine retenue implique la méthodologie scientifique retenue. En ce qui concerne la physique, la méthode actuelle consiste à émettre des principes et des hypothèses, à élaborer une théorie à partir d’eux (en utilisant évidemment aussi telle ou telle connaissance mathématique), et enfin, et c’est très important pour ce type de science !, il faut confronter les conclusions à l’expérience, à l’observation, à la réalité. S’il y a conformité, alors la théorie est validée, sinon elle est rejetée ou est à revoir. C’est pourquoi donc on parle de la physique comme d’une science expérimentale.

Et le problème est pire en mathématiques, qui sont résolument au pluriel. La classification faite en général pour les sciences (science expérimentale, science déductive, science formelle, etc.) parle des mathématiques comme d’une science formelle, une science qui repose sur des principes évidents ou démontrés. Pour être plus précis, ces principes sont nommés axiomes, que l’on pose a priori sans démonstration, et qui servent à démontrer d’autres énoncés appelés théorèmes. Là, le gendarme ou l’arbitre qui disqualifie telle ou telle théorie mathématique n’est pas l’expérience ou l’observation, mais un principe nommé « Principe de NON contradiction ». Cela signifie qu’un système d’axiomes donné ne doit pas conduire à un énoncé et à son contraire. Si cela se produit, on parle alors d’antinomie ou paradoxe ou contradiction. Mais il faut préciser que le « Principe de NON contradiction », qui détermine cette méthode axiomatique, est un PRINCIPE, il n’est issu d’aucune démonstration, mais est simplement posé comme une évidence, comme le BON SENS même, et c’est là justement où réside toute sa faiblesse, ainsi que l’axiomatique à laquelle il donne naissance comme méthodologie mathématique.

Une règle de sagesse est à observer quand il s’agit de science : il faut toujours se méfier des évidences, surtout quand ces dites évidences ne peuvent faire l’objet d’une démonstration en bonne et due forme ! C’est ce qui est le cas des axiomes et plus généralement des principes (car on emploie aussi ce mot en physique, comme quand on parle par exemple de « principe de relativité générale »). Les axiomes et les principes peuvent êtres si véridiques, et pourtant si menteurs, si on les examine dans toute leur profondeur, dans leurs fondements mêmes, à la Racine même. Et cela nous ramène à la question de l’Arbre, ce qui veut donc dire aussi la question des ensembles. C’est hélas le problème du « Principe de NON contradiction », et il s’agit d’un problème de logique, et ce problème se résume à un seul mot, le mot NON, oui la Négation !
Ce problème a été bien diagnostiqué, bien analysé, et la conclusion est aussi simple qu’étonnante : la manière actuelle de faire la négation (peu importe le domaine considéré) est mauvaise, très mauvaise ! Le Paradoxe du Menteur a lui seul ne fait que révéler que la négation actuelle est mauvaise, la négation qui fait de la logique élémentaire (celle la plus fondamentale donc), une question de Vrai et Faux, à comprendre une question de Vrai et de NON Vrai. Avec un autre connecteur pour faire la négation (une négation plus riche, plus féconde, plus puissante, et surtout qui n’engendre plus de paradoxes), qu’on désignera par A, la logique serait toujours une question de Vrai et Faux, mais à comprendre cette fois-ci Vrai et A Vrai. Je révèle aujourd'hui un tel connecteur, qui n’est AUTRE que le mot AUTRE (en latin ALTER) si omniprésent dans les raisonnements ! On ignorait complètement sa qualité de connecteur de négation, de grande alternative à la bonne vielle négation faite avec le mot NON. Avec le mot AUTRE ou ALTER, on raisonne désormais en terme de Vrai et d’ALTER Vrai !

La logique qui ne fonctionne qu’avec le mot NON comme mot de négation, je l’appelle Logique de Non, et c’est la logique actuelle, ce dans tous les domaines, d’où la grande difficulté à unifier les domaines. Avec une telle logique, on ne peut que parler par exemple de mathématique et de NON mathématique, de science et de NON science. La religion dans cette logique est une NON science, et le problème de la compatibilité entre Science et Religion se pose donc. Et plus généralement, pour un domaine X donné, on parle de X et de NON X, ce qui signifie que le connecteur traditionnel NON opère un clivage entre X et NON X. Mais par contre la logique qui ne fonctionne qu’avec le mot AUTRE comme mot de négation, je l’appelle Logique d’Alter, et c’est la nouvelle logique que je fais découvrir, dans laquelle tous les paradoxes sont résolus, tous les problèmes de fondement (de racine donc) disparaissent. Et il faut préciser que la Logique de Non ne fonctionne qu’avec le seul mot NON comme mot de négation, sans aucune négation alternative, bref sans le mot AUTRE ou ALTER. En revanche, la Logique d'Alter fonctionne avec les mots NON et ALTER. Si elle ne fonctionnait qu’avec le mot ALTER seul, le problème serait exactement le même qu’avec le mot NON, car c’est ce mot ALTER qu’on aurait conçu comme le mot NON. Mais la Logique d'Alter fonctionne avec les deux mots NON et ALTER, qui œuvrent en tandem dans une magnifique relation que j’appelle équation d’alternation, et qui est l’égalité : NON X = ALTER X, où X est n’importe quelle notion qu’on puisse considérer, par exemple mathématique ou science. Alors l’équation dit : NON mathématique = ALTER mathématique, ou NON science = ALTER science, et on entre alors dans un monde où une NON mathématique est toujours une AUTRE mathématique, où une NON science (la religion par exemple), est toujours une AUTRE science. Parce que la Logique d'Alter fonctionne avec les mots NON et ALTER (sinon elle ne serait pas la Logique d'Alter), tous les acquis actuels de la Logique de Non sont conservés, ce qui est une bonne nouvelle. Mais la nouvelle logique apporte un grand PLUS, une infinité de nouvelles possibilités (comme par exemple la possibilité de diviser désormais par 0 !), inconnues avec la Logique de Non.

Dans la Logique de Non, on ne peut pas écrire par exemple 0 = 1, car cela n’a aucun sens, c’est la NON sens même, la violation même du « Principe de NON contradiction ». Si par exemple dans un raisonnement un énoncé P aboutit à une conclusion comme 0 = 1, on doit déclarer au nom du « Principe de NON contradiction » que P est faux, donc que NON P est vrai. C’est tout simplement le fameux « raisonnement par l’absurde », un raisonnement typique de la Logique de Non, puisqu’il repose sur le « Principe de NON contradiction », typique aussi de cette logique. Mais maintenant, avec ALTER, on parle plutôt de Raisonnement par Alternation. Si un énoncé P aboutit à 0 = 1, alors cela veut dire qu’il faut alterner P, il faut dire maintenant ALTER P, c’est-à-dire maintenant considérer l’AUTRE vérité (ALTER vérité) qu’est le contraire de P. Par exemple si P est la phrase « Il pleut », et si cette phrase aboutit à 0 = 1 (ce qu’on appelle une contradiction dans la Logique de Non), alors il faut dire maintenant « Il ne pleut pas », ce qui est l’alternation de « Il pleut ». Apparemment il n’y a aucune différence avec ce qui se passe avec la Logique de Non. Et pourtant il y en a une ÉNORME ! Et la différence est celle-ci : Dans la Logique d'Alter, les deux phrases sont toujours alternativement vraies, comme pour le courant alternatif, tantôt positif, tantôt négatif (par opposition à la Logique de Non qui est seulement comme le courant continu). C’est ainsi que tantôt « Il pleut » et tantôt « Il pleut pas ». S’il ne pleut pas ici, il pleut toujours ailleurs, dans la grande Existence, dans le grand Univers ! La vérité alterne donc dans l’espace et dans le temps. C’est en ce sens que les deux phrases pourtant contraires l’une de l’autres sont toutes les deux vraies.

La vraie absurdité et le vrai paradoxe est donc ailleurs, cela consiste à dire par exemple que « Il ne pleut pas » est la seule vérité scientifique, et que « Il pleut » est à rejeter comme vérité scientifique. Si l’Univers ne fonctionnait pas avec la Logique d'Alter, on pourrait jamais avoir dans les même mathématiques la géométrie euclidienne et la géométrie NON euclidienne, ou l’arithmétique standard et l’arithmétique NON standard, etc. Toutes les deux sont des vérités mathématiques, tout dépend donc dans le contexte dans lequel on ne place. À quand donc le temps pour le monde actuel de comprendre enfin que c’est exactement ce qu’il faut dire des phases « 0 n’est pas 1 » et « 0 est 1 » ? La phrase « 0 est 1 » ou « 0 = 1 » est comme une phrase de NON science (au sens actuel de la négation), et pourtant c’est tout simplement une phrase d’une AUTRE science, tout aussi valable que la science standard, comme la géométrie NON euclidienne (ou l’arithmétique NON standard) est aussi valable que la géométrie euclidienne (ou l’arithmétique standard) !

Pour tout dire, TOUT devient maintenant possible avec la Logique d'Alter, avec laquelle la science dans une nouvelle dimension. Cette logique est tout simplement la Logique de l’Arbre (la vraie logique pour traiter de la très importante notion d’ensemble), car qui observe très profondément un arbre ne peut qu’aboutir à une telle logique, et ne peut que comprendre que cette logique est la logique même du fonctionnement de l’Existence et de l’Univers, la vraie logique pour étudier l’Univers, pour faire la physique, bref pour faire la science !

Les gens bien informés savent que la logique actuelle (en tant que science) a des problèmes dans ses fondements (et je viens d’expliquer brièvement que l’actuelle négation en est la cause profonde), et ses problèmes sont tout simplement ceux communs à toutes les sciences, qui font par exemple qu’en physique la Mécanique quantique et la Relativité ont du mal à s’unifier dans une branche (ou sous-arbre) dans l’arbre de la physique. Et ces problèmes se retrouvent en Théorie des ensembles, et c’est pour TENTER de les résoudre qu’on a axiomatisé la notion d’ensemble, ce qui fait de l’actuelle notion mathématique d’ensemble une notion purement formelle (ce qui veut dire aussi une notion purement axiomatique). Cela veut dire que les mots mathématiques sont vidés de leur sens naturel et intuitif, au profit d’un nouveau sens qui est purement technique, purement abstrait. Le mathématicien se moque complètement de savoir si les choses dont il parle ont un sens dans la réalité, correspondent à une chose observée (comme un arbre par exemple !), etc. Si c’est le cas, on parle alors de « mathématique appliquée ». Sinon, le mathématicien se contente tout simplement du fait que ses abstractions soient cohérentes en elles-mêmes, c’est-à-dire obéissent au sacro-saint « Principe de NON contradiction », qui est son seul gendarme et arbitre ! Et la boucle est bouclée !

C’est tout le problème quand la science ne repose pas sur des énoncés démontrés mais seulement sur des axiomes, des principes ou des hypothèses. C’est donc un problème de fondement, de Racine ! Et c’est tout le problème de savoir pourquoi actuellement la Science et la Religion ne s’unifient pas dans un seul Arbre, qui est donc à la fois Science et Religion, comme je l’ai expliqué.

La solution consisterait tout simplement à partir d’énoncés démontrés, ceux qui veut dire par exemple que les principes et les axiomes doivent être démontrés ! Mais alors un autre problème très épineux se pose : pour démontrer un énoncé donné, il faut partir d’autres énoncés, pour qui se pose à leur tour le problème de la démonstration. Il faut d’autres énoncés pour les démontrer, et ainsi de suite, c’est le cercle infernal ! On pense donc qu’il n’EXISTE pas un moyen de sortir de ce cercle vicieux, et c’est là où on a TORT ! En effet, ce moyen existe bel et bien, et il donne naissance à une nouvelle méthodologie scientifique (qui est simplement celle qu’enseigne un arbre !), que j’appelle la Théorématique, par opposition à l’Axiomatique évidemment !

Et comment trouver cette méthode magique ? Simple : il suffit de regarder un arbre. Pour faire un arbre, il faut des branches, qui sont à leur tour des arbres dans l’arbre. Et pour faire ces arbres-là, il faut encore d’autres arbres qui seront leurs branches, etc. Cela à l’air d’un cercle infernal, ce qui veut dire qu’on ne réussira jamais à obtenir un arbre à cause de ce cercle vicieux. Et pourtant qu’on regarde la Nature et on verra des arbres ! Donc la Nature (dois-je dire Dieu ?) a résolu ce problème et a su créer donc des arbres ! Il suffit donc de suivre tout simplement la même méthode que celle qui donne naissance à un arbre, pour résoudre le problème ! Et comment fait-on naître un arbre ? En coupant par exemple un branche d’un autre arbre et en la plantant dans le sol. Mais cela suppose qu’on a déjà un arbre au départ, et c’est là le problème…ou la SOLUTION !

Mais l’autre moyen d’obtenir aussi un arbre est de planter une graine ou une racine. Mais il faut avoir la graine ou la racine, ce qui est encore là le problème…ou la SOLUTION ! C’est tout simplement aussi le même problème qui se pose dans un dictionnaire : pour définir un mot donné, il faut d’autres mots qui ont à leur tour besoin d’autres mots pour être définis. Théoriquement donc, on ne pourrait jamais définir un mot, et ne nous devrions jamais être capables de comprendre les mots. Et pourtant nous comprenons bien les mots, et si on ne peut définir les mots, alors à quoi servent les dictionnaires ? Cela veut dire tout simplement qu’il EXISTE des mots ou un mot qui est comme une graine ou une racine, que nous n’avons pas besoin de définir, non pas parce qu’il est NON définissable, mais tout simplement parce qu’il se définit lui-même ! Et alors le problème est résolu, car on ne part pas de quelque chose qui est NON définissable ou qui est NON démontrable, mais de quelque chose qui se définit lui-même, se démontre lui-même, et le tour est joué ! Si on trouve ce (ou ces) mot(s) qui sont comme des graines, alors la science qu’ils fondent se définit elle-même, elle se démontre elle-même ! Et alors on a gagné, car une telle science est la plus fondamentale qui soit (puisqu’elle se définit et se démontre elle-même), et alors c’est la fameuse science unificatrice recherchée, c’est l’Arbre dans le quel il y a désormais Science et Religion, où les nombres et Dieu se côtoient en toute compatibilité, en toute harmonie !

Et maintenant quels sont les mots magiques qui sont comme des graines de l’Arbre de la Science ? Il est très simple de trouver de tels mots. Allons, ne faisons plus durer le suspens : il s’agit simplement des mots : chose, existence, ensemble !
Le mot ensemble seul ne suffit pas pour faire une telle science, car on peut contester cela en disant qu’une existence (une chose qui existe) n’est pas forcément un ensemble au sens mathématique actuel du terme. Par exemple l’amour, l’haine, l’homme, la fleur, sont des existences. Mais est-ce qu’ils sont actuellement des objets de l’actuelle Théorie axiomatique des ensembles ? Dans cette théorie ils n’ont aucune définition, aucun sens, ils sont donc des NON ensembles. Mais puisque ce sont des existences, on peut vouloir faire une science plus fondamentale, qui repose donc sur les mots existence et ensemble (c’est-à-dire simplement le mot existence, puisque les existences englobent les ensembles). Mais une telle science n’est pas encore assez fondamentale pour englober Dieu (donc la Religion), car Dieu est une chose, certes, mais quant à aller jusqu’à dire qu’il est aussi une existence, alors là les athées diront « STOP ! N’allez pas trop vite, car l’existence de Dieu reste à démontrer ». C’est pourquoi donc la nouvelle science doit comporter aussi le mot chose, car alors on peut guillotiner sans vergogne ceux qui refuseraient à Dieu le droit d’être AU MOINS une chose ! L’existence de la chose est à démontrer, d’accord, mais il n’empêche que c’est une CHOSE ! C’est pourquoi donc il faut maintenant une science qui repose sur les mots chose, existence et ensemble. Les choses englobent les existences, qui elles englobent les ensembles. Autrement dit, les ensembles sont des existences, qui sont à leur tour des choses. La nouvelle science repose donc sur le mot chose, et cela suffit pour reposer aussi sur les existences et les ensembles. Et on peut constater que quand je dis « engobent » ou « sont des », je parle tout simplement de la relation d’inclusion des ensembles, la relation ensemble – sous-ensemble, d’où toute l’importance de la notion d’ensemble !

La théorie qui réalise enfin l’unification de TOUT (donc de la Science et la Religion) est tout simplement ce que je nomme Théorie universelle ses ensembles ou Théorie de l’Universalité ou Science de l'Existence. Elle repose sur un extraordinaire théorème, le Théorème de l'Existence, qui dit simplement : « Toute chose est une existence ». Ce théorème se démontre de lui-même, parce qu’on fait une science qui part des mots chose, existence, ensemble. La Science de l'Existence est une très grande révolution scientifique, c’est enfin la Science du TOUT, la vraie. Elle fait entrer le monde dans une toute nouvelle dimension. Elle est publiée au site internet : http://hubertelie.com.

Voir aussi Arbre de la Science


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