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Hubertelie à Stella Baruk

Science de l'Existence

ou Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité
Nouvelle Science, nouvelle vision du Monde, de l'Existence, de l'Univers, de la Nature, de la Vie, de Dieu
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Logique mathématique de Jussieu et Institut des Hautes Etudes Scientifiques

Courriers scientifiques...

Circonstances atténuantes
Courrier (mail) à Jean-Pierre Bourguignon, directeur de l'Institut des Hautes Etudes Scientifiques de Bures-sur-Yvette
Courrier (mail) à l'équipe de Logique mathématique de Jussieu

Cher Théophile, chère Angélique, ce document t'invite à lire deux courriers scientifiques. Je te recommande vivement, avant de les lire, de considérer le document : "Circonstances atténuantes", qui présente l'époque et le contexte de ces lettres, et qui explique aussi le ton "peu diplomatique" de ces lettres.

IHES, Bures sur Yvette

Monsieur Jean-Pierre Bourguignon,

Permettez-moi, avant de me présenter et d'entrer dans l'objet même de ce courrier, de porter à votre attention la réponse de Benoît RUELLE de RFI (Radio France Internationale) à un mail que je viens de lui adresser. Le but était qu'il parle dans son émission "Idées", de la Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité ou Science de l'Existence, et plus précisément qu'il annonce à ses auditeurs que cette extraordinaire nouvelle science peut aujourd'hui être découverte à mes sites Internet : http://hubarfi.site.voila.fr (pour les professionnels de l'information), http://hubertelie.com (pour ceux qui n'ont pas peur d'entrer immédiatement dans des considérations techniques et de découvrir la démonstration simple du révolutionnaire Théorème de l'Existence avec les quantificateurs existentiel et universel), http://xxx.hubertelie.com (pour le grand public !). Alors Benoît RUELLE de RFI me répond en ces termes :

[Cher Ami,
Je ne peux rien pour vous. Mais si vos travaux sont aussi exceptionnels que vous le dites, adressez une note de synthèse, par exemple, à Monsieur Jean-Pierre Bourguignon, mathématicien et directeur de l'Institut des hautes études scientifiques de Bures sur Yvette.

jpb@ihes.fr

Cordialement.
B.R.]

Voila donc pourquoi je m'adresse à vous. Évidemment, je sais très bien qu'une nouvelle théorie mathématique concerne plus les mathématiciens qu'un journaliste animateur de radio. Mais si je suis conduit aujourd'hui à publier mes travaux sur Internet et à entreprendre ce genre de démarche auprès des médias, il y a une très bonne raison à cela, que Monsieur Ruelle aurait comprise en ne concluant pas trop vite que je me suis trompé de destinataire de mon mail, et qu'il ne peut rien pour le "Cher Ami".

Depuis 2004, cette théorie est soumise à de grandes figures des mathématiques comme Stella Baruk, au Doyen de la Faculté des sciences à l'Université de Lomé (Messanvi Gbéassor), ou encore à un Maître de Conférence de mathématiques dans la même Université (Kokou Tchariè), devant qui le Théorème de l'Existence a été démontré dans une séance de travail qui eut lieu à Kara le 29 juillet 2006. Et les travaux ont été soumis aux présidents français (Jacques Chirac) et togolais (Faure Gnassingbé), étant donné que la grande révolution que cette théorie est en fait une affaire politique.

Le Maître de Conférence en mathématiques n'a pa pu réfuter ce théorème, et au jour d'aujourd'hui, la nouvelle science aurait dû au moins par son entremise être publiée dans les journaux scientifiques du monde, et les médias auraient été saisis du grand événement par la force des choses, sans que j'aie besoin de les contacter dans ce sens. Mais s'il n'en a pas été ainsi, c'est parce que cette théorie qui sort des sentiers battus, qui prend des distances avec les conceptions traditionnelles, avec les schémas de pensées ancrés depuis longtemps, etc., bref une nouvelle théorie qui remet à ce point en question les fondements actuels des mathématique, des sciences, qui bouleverse toutes les conceptions philosophiques, théologiques, religieuses, politiques, économiques, sociales, etc., dérange forcément ceux qui prennent la mesure de la révolution. Un Maître de Conférence en mathématiques et spécialiste en équations des ondes doit faire preuve d'une grande honnêteté intellectuelle pour promouvoir ce qui remet en question son grand prestige et le perchoir sur lequel il est assis. Il n'est pas maso, et il n'a pas du tout l'intention de se faire hara-kiri, de promouvoir une nouvelle Mathématique qui lui fait dire en somme : "Je croyais savoir ce que sont les mathématiques, ce qu'est la discipline dans laquelle je suis un grand Maître de Conférence. Mais aujourd'hui je vous présente humblement la nouvelle Mathématique qui démontre mon ignorance, qui me montre à quel point je ne savais pas de quoi je parlais."

Voilà ce qui dérange ceux qui sont très haut perchés et qui prennent la pleine mesure du nouveau phénomène scientifique. Mais pour les autres comme par exemple Benoît RUELLE qui ne peuvent pas mesurer la révolution au point de la présenter comme tel, comme un grand événement scientifique, considère plutôt (c'est ce qui ressort très finement de son mail) c'est très prétentieux d'affirmer tout bouleverser avec une nouvelle science. Leur réaction revient à dire : "Qui êtes-vous pour croire sortir de votre trou et bouleverser le monde ? Si votre science est si révolutionnaire comme le prétendez, alors allez la proposer à des connaisseurs, à des spécialistes et à de grandes têtes des grandes institutions universitaires ou de recherche, et vous apprécierez comme ils vous remettront vite à votre place."

Qu'à cela ne tienne. Bonjour Monsieur Jean-Pierre Bourguigon, de l'Institut des hautes études scientifiques de Bures sur Yvette. Cela ne me gêne pas du tout de vous ajouter à la liste des hautes personnalités scientifiques, à qui j'ai présenté la Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité (à ne pas confondre avec une autre théorie actuelle du même nom) ou Science de l'Existence (à ne pas non plus confondre avec des conceptions philosophiques du même nom ou d'appellation apparentée). Mon dernier courrier du genre fut par exemple adressé à l'équipe de Logique mathématique de Jussieu, placée sous le signe de J-L Krivine, dont les ouvrages m'ont beaucoup servi dans mes travaux. Je reproduirai ce courrier à la fin de celui-ci, puisqu'il est un courrier scientifique, une courte synthèse qui renvoie ensuite aux sites pour découvrir pleinement la nouvelle théorie et pour télécharger mes travaux, dont des documents comme "La Thèse pour l'Université" ou "Le Théorème du Dieu Existence", les deux écrits à l'intention du Maître de Conférence Tchariè, et au-delà de lui à toutes les personnalités universitaires du monde.

Le document "Le Théorème du Dieu Existence" peut être consulté en ligne à http://xxx.hubertelie.com, au grand menu "Le X Proph", au sous-menu "HubertElie Correspondance", puis à "HubertElie au Togo". Là, non seulement on peut lire l'imposant document "Le Théorème du Dieu Existence" au lien "HubertElie au Maître de Conférence", mais aussi le courrier scientifique adressé au Doyen de la Faculté des sciences de l'Université de Lomé. Dans le menu "HubertElie Correspondance", on peut aussi aller au lien "HubertElie à la France", là pour découvrir en autres la lettre adressée à Stella Baruk, l'auteur de l'"Age du Capitaine".

Mais ce courrier est aussi une excellente réplique à son livre "Si 7 = 0", sous le titre : "Si Stella = Hubert". C'est vraiment du nouveau dans la conception des mathématiques que j'entends ainsi faire découvrir, et démontrer au monde que ce qui est considéré hier comme des inepties (que seuls les élèves de lycée professionnel fâchés avec les maths peuvent faire), par exemple dire que : 1 / 0 = 0, sont au contraire de splendides vérités mathématiques, des idées géniales ! C'est au contraire les grands spécialistes des mathématiques qui doivent revoir leurs copies, leurs conceptions, leur logique scientifique, les fondements de leurs sciences, pour enfin découvrir enfin que l'ineptie est plutôt de leur côté ! Une grande humilité de l'élite s'impose maintenant face à la nouvelle Science, et c'est là l'un des problèmes avec la Théorie universelle des ensembles, celle qui enterre le dogme et la doctrine axiomatique, celle qui met fin à la Théorie axiomatique des ensembles en particulier. C'est ce que j'ai écrit récemment à krivine@logique.jussieu.fr, à cette équipe de Logique mathématique. Je n'ai pour l'instant aucune réponse de leur part, et j'espère de tout cœur que j'en recevrai de vous, au moins pour me dire comme Benoît RUELLE : "Cher Ami. Je ne peux rien pour vous."

Je n'ai pas fait allusion aux élèves de lycée professionnel pour rien, car mon expérience d'enseignant de maths et sciences à ces élèves a été très enrichissante dans mes réflexions sur les fondements des sciences. Comment expliquer à ces élèves que 3/3 = 7/7 = 1, bref que tout nombre divisé par lui-même donne comme résultat 1, mais qu'on n'a pas le droit de dire que : 0 / 0 = 1 ! Et très naturellement, ils diraient bien volontiers que 1 / 0 = 0, mais on leur dit que c'est impossible, et leurs calculatrices affichent un message d'erreur quand on fait ce genre d'opération. Ils admettent cela malgré eux, et ils font confiance aux grands et aux savants qui en savent donc beaucoup, et qui leur disent que c'est impossible ou que c'est une erreur de tenter la division par 0. Aujourd'hui, j'entends provoquer un grand tremblement de terre en sciences en démontrant mathématiquement que ce sont malheureusement les savants qui sont ignorants, donc qui ont tort. Je me présente maintenant :

Je suis Hubert S. Abli-Bouyo, enseignant en mathématiques et sciences en lycée professionnel en France jusqu'en 2004, année où j'ai quitté le métier d'enseignement pour me consacrer pleinement à mes recherches fondamentales commencées en France depuis 1998, et qui ont pris une grande proportion depuis 2003. Je suis actuellement au Togo, mon pays d'origine, dans un coin perdu du monde nommé Pagouda, un terrain idéal et un très excellent laboratoire grande nature pour poursuivre mes travaux, pour étudier et analyser des sujets de fondement, des thèmes, des phénomènes jusqu'ici hors de portée des sciences actuelles, et qui enfin sont scientifiquement parfaitement formulées et démontrés !

En très grand mathématicien qui m'a été recommandé par RFI, je ne vous apprends rien en disant que la logique et les mathématiques connaissent de grands problèmes de fondement, mis en lumière particulièrement depuis l'introduction de la Théorie des ensembles par Georg Cantor en 1882. Pour résoudre ces problèmes, la notion d'ensemble fut axiomatisée, et la théorie de référence aujourd'hui est la Théorie axiomatique des ensembles de Zermelo-Fraenkel (1922). Mais des problèmes de physique (en relativité et en mécanique quantique) m'ont amené à analyser très profondément les grands concepts de l'algèbre (entre autres les structures algébriques), de l'analyse, mais aussi des questions de l'arithmétique. Je ne vous apprends rien non plus en disant que l'outil algébrique (les matrices et les tenseurs par exemple), géométrique et analytique, est d'usage capital en physique (en relativité et en mécanique quantique par exemple).

L'algèbre qui dit que l'équation x = x + 1 est insoluble dans R (l'ensemble des nombres réels) ou que 0 est inversible (ce qui revient au même), ou que la fonction : x -> 1 / x est NON définie pour x = 0 (ce qui revient au même, mais cette fois-ci dans le langage des fonctions), souffre d'un très grave handicap qui se résume à un seul mot : l'INFINI ! Et la Théorie axiomatique des ensembles qui fonctionne avec l'Ensemble Vide (introduit par un axiome de ce nom), mais qui rejette l'Ensemble Plein (ou Ensemble de tous les ensembles), une théorie dont les axiomes ont pour conséquence que cet Ensemble Plein est une NON existence, souffre aussi d'un très grave handicap. En fait, c'est ce problème des fondements (la NON existence de l'Ensemble Plein) qui se retrouve en algèbre des structures sous la forme de la NON inversibilité de 0. La Théorie universelle des ensembles pose aujourd'hui le bon diagnostic des problème de fondements, des paradoxes scientifiques de tous les temps, et en particulier en logique et en théorie des ensembles. Enfin la VRAIE SOLUTION au problème !

C'est ce que j'invite le monde à découvrir aux sites internet mentionnés plus haut, et c'est de cela que je voulais que Benoît fasse un objet de son émission "Idée". Il me renvoie à l'aréopage universitaire, comme si j'ignorais l'existence de cet aréopage, comme si je n'avais pas déjà plus qu'amplement entrepris des démarches d'information auprès de cet aréopage. Mais une théorie mathématique qui parle de Dieu, ce n'est pas sérieux, voyons !, et cela TOUT LE MONDE le sait, voyons ! TOUT LE MONDE sait qu'il est IMPOSSIBLE de définir, de formuler, de démontrer Dieu mathématiquement, voyons ! Il n'y a que des niais, des ignorants, des charlatans de la science, etc., qui ne le savent pas, voyons !

Quand Georg Cantor, le père de la théorie des ensembles, a commencé à dire que c'est Dieu qui lui a envoyé la théorie des nombres transfinis, TOUT LE MONDE est d'accord pour dire que ce sont les propos de quelqu'un qui pétait les plombs, qui était bon pour crever en asile psychiatrique, comme cela arriva effectivement au pauvre Cantor. Aujourd'hui, on dit de lui que c'est un génie. Quelle hypocrisie ! On commence par traiter les gens de "charlatans de la science" (comme Kronecker traitait Cantor), ils finissent en asile par suite de cette terrible incompréhension dont ils sont victimes à tous les niveaux, et quand ils sont morts, on dit d'eux qu'ils sont des génies. Oui, celui qui associe Dieu au nombres transfinis est forcément FOU, c'est évident pour TOUT LE MONDE, voyons !, car TOUT LE MONDE sait que Dieu n'a rien à voir avec les nombres ! C'est TRES EVIDENT, non ?

Et maintenant, voici la lettre que j'ai adressée récemment à l'équipe de Logique mathématique de Jussieu. Avec cette lettre, j'entre un peu plus dans les bases de la Théorie universelle des ensembles. Puis j'invite tous à aller aux sites où la nouvelle science est publiée, à naviguer dans les sites pour télécharger les documents qui traitent techniquement de cette science ou pour imprimer les pages désirées. Mais j'attends au moins qu'on m'envoie une petite réponse à mes courriers, ne serait-ce que pour me dire : "Cher Ami. Je ne peux rien pour vous". Car ma démarche est non seulement d'informer de la publication de la nouvelle Science, mais aussi évidemment d'entrer en communication avec la communauté scientifique, d'avoir enfin la parole dans cet univers, pour dire ce que j'ai à apporter à la connaissance et à la Science, etc. Mais, hélas, je n'ai été que trop méprisé par l'élite, ce qui m'a fait perdre mon tempérament de gentlemen très courtois que j'avais à son égard autrefois. C'est aujourd'hui quelqu'un de blessé, d'aigri, de très indigné qui m'adresse à ceux à qui j'ai tenté en vain de présenter de mon tout mon cœur ce qui est pour l'enrichissement de tous. Excusez-moi le ton de ce courrier, j'espère que vous en comprenez les raisons. Sinon, tant pis, vous ne serez que le numéro n + 1, le suivant du numéro n, qui m'aura traité avec mépris.

Mais, je vous en prie, j'espère une réponse de votre part, et si possible, quelque chose qui ressemble à une correspondance scientifique, à une relation entre collègues, amoureux de la même discipline. J'ai mes originalités, vous avez les vôtres, mais cela n'empêche en rien une relation scientifique, l'un s'enrichissant de l'expérience de l'autre, l'un et l'autre collaborant, s'unifiant dans une seule et même chose nommée Science, ou simplement Univers, Existence ou Vie !

"S'enrichir des différences pour converger vers l'universel"
(Léopold Sédar Senghor).

" Différent et pourtant Même"
(HubertElie, Science de l'Existence)

" 0 = 1"
(HubertElie, ou Théorie de l'Universalité)

" 1 / 0 = 0 ou 0 = 1 / 0 ou Alpha = Oméga ou Vide = Plein ou simplement : Cycle !"
(HubertElie, Théorie universelle des ensembles)

Meilleures salutations.

Hubert S. Abli-Bouyo, ou simplement HubertElie.

Voici donc en Post-Scriptum et en complément d'information, la note que j'ai adressée à l'équipe de Logique mathématique Jussieu.

Logique mathématique, Jussieu

Madame, Monsieur,

Je suis Hubert Abli-Bouyo, mathématicien et physicien, enseignant en lycée professionnel en France jusqu'en 2004. Depuis mes années de lycée (1980), je me passionnais pour les grandes questions scientifiques, en mathématiques (algèbre, théorie des nombres, théorie des fonctions) et en physique (relativité et mécanique quantique). J'avais déjà de très bonnes idées de recherche, je flairais des trouvailles inédites. Mes réflexions ont mûri au fil des années, et les grands problèmes auxquels je travaillais me conduisaient à me concentrer sur l'algèbre et ses concepts, puis finalement sur la Théorie des ensembles, les fondements mêmes des mathématiques. Je me suis alors trouvé face aux problèmes des fondements, et précisément aux paradoxes de toutes natures relevés dans la Théorie des ensembles de Georg Cantor, et qui ont conduit à axiomatiser la notion d'ensemble, à l'élaboration de la Théorie axiomatique des ensembles, comme celle de Zermelo Fraenkel (ZF). Il m'apparaissait clairement que les grandes questions posées par ces paradoxes n'ont pas vraiment été résolues par la théorie axiomatique. Elles n'ont été résolues qu'en surface, les questions de fond continuant à se poser avec la même pertinence.

Par exemple, il est clair que la notion d'ensemble de tous les ensembles pose un problème, elle entraîne un paradoxe, tout comme par exemple aussi la notion d'ensemble de tous les ordinaux. Mais élaborer un système d'axiomes qui, pour résoudre ce genre de paradoxes, a pour conséquence qu'on ne doit pas parler d'ensemble de tous les ensembles pose plus de problèmes qu'on n'en résout en réalité. La théorie axiomatique induit l'usage d'une deuxième notion, celle de "collection", qui permet de dire qu'un ensemble est une collection, mais qu'une collection n'est pas forcément un ensemble. On peut ainsi parler de "collection" de tous ensembles et aussi de "collection" de tous les ordinaux, collections qui ne sont pas des ensembles, au sens de l'axiomatique considérée. On a ainsi apparemment fait le ménage dans les ensembles, en éliminant les ensembles problématiques, comme par exemple l'ensemble de tous les ensembles. Mais le problème de fond se pose exactement de la même manière avec la notion de collection de toutes les collections, au cas où l'on voudrait faire une théorie des collections, qui généralise la théorie des ensembles, ce qui est à peu près la philosophie d'une théorie comme celle des classes (de von Neumann). Dès que la notion axiomatisée, qu'elle soit celle d'ensemble, de collection, de classe, etc., peu importe le terme primitif, X par exemple, tente de boucler sur elle-même pour engendrer la notion de X de tous les X, on retrouve le même paradoxe.

Et puis, c'est scientifiquement choquant à mon sens qu'on puisse faire une théorie qui parle de l'Ensemble Vide, défini précisément comme l'"ensemble n'ayant AUCUN ensemble comme élément", mais sans la notion d'Ensemble Plein, qui est donc en toute logique l'"ensemble ayant TOUT ensemble comme élément" ! En d'autres termes, l'Ensemble Plein n'est nul autre que le fameux ensemble de tous les ensembles. Une science avec le Vide sans le Plein est quelque part forcément lacunaire, quelque chose n'y tourne pas rond, qu'il faut précisément bien diagnostiquer. Mais j'avais l'intime conviction que le diagnostic de la (ou des) cause des paradoxes relevés dans la théorie de Cantor était très mal posé, que toutes les axiomatiques proposées ne résolvaient pas le fond du problème. Elles sont autant de béquilles qui aident le malade à marcher mais qui ne soignent pas son mal de pied, son mal de fondement. Pire, parce qu'on n'a pas su comment soigner le malade des fondements (des pieds donc), on l'a simplement amputé de membres très importants comme l'Ensemble Plein (ou ensemble de tous les ensembles), et il marche désormais avec une béquille nommée Théorie axiomatique des ensembles, celle de référence étant ZF.

Une théorie des pommes se déroule forcément dans l'ensemble de toutes les pommes, sans quoi cette théorie n'étudie pas vraiment les pommes, toutes les pommes ! La question se pose exactement de la même façon quand on se donne comme but d'étudier les ensembles, oui LES ensembles. Le simple emploi du pluriel pour dire LES ensembles cache la notion intuitive d'ensemble de tous les ensembles, exactement comme le simple fait de dire LES pommes cache la notion d'ensemble de toutes les pommes. Et même le simple usage d'un terme primitif (attribut) comme pomme sous-entend automatiquement qu'on est dans l'ensemble des pommes. Qui dit humain parle automatiquement de l'ensemble des humains, qui dit étoile parle automatiquement de l'ensemble des étoiles, etc., et plus généralement qui dit X parle de l'ensemble des X, éventuellement vide, si aucune chose n'est un X. C'est le problème d'existence des X qui est ainsi posé. Si on dit que les X sont des NON existences, alors l'ensemble des X est vide. Et il ne s'agit pas d'espérer contourner le problème en évitant l'emploi du mot ensemble, mais en parlant par exemple de collection des X, classe des X, groupement des X, domaine des X, univers des X, etc. Peu importe le mot utilisé pour exprimer la notion d'ensemble, le problème est exactement le même ! Et en particulier, si la notion qui exprime l'idée d'ensemble est X lui-même, alors le simple fait de dire LES X ou même seulement X c'est parler de X de tous les X, que ce soit ensemble de tous les ensembles, collection de toutes les collections, groupement de tous les groupements, classe de toutes les classes, domaine de tous les domaines, univers de tous les univers, etc. Si on ne peut pas parler de X de tous les X, donc d'ensembles de tous les ensembles, alors c'est qu'il y a un problème de logique qu'il s'agit de bien identifier, ce qui a été jusqu'ici très mal fait, comme je le démontre. Le bon diagnostic est aujourd'hui bien posé, et j'apporte au problème une solution qui révolutionne toute la logique et toute la pensée scientifique ! La solution est aussi simple qu'extrêmement puissante ! Avec elle, non seulement la logique et les mathématiques, mais la science entre dans toute une nouvelle dimension. J'expose la solution à mon site internet http://hubertelie.com, et les implications très étonnantes de cette solution.

Je veux tout simplement dire qu'une théorie des ensembles sans l'ensemble de tous les ensembles n'est pas en réalité une théorie des ensembles. Elle étudie une notion purement axiomatique (technique) qu'elle nomme ensemble, qui ressemble vaguement à la notion intuitive d'ensemble, mais qui ne la théorise pas complètement. Et le mot "complètement" que j'emploie ici ne l'est pas par hasard, mais au sens de la complétude de la logique mathématique. On ne s'est peut-être pas aperçu (ou pas assez) que les grandes questions de complétude, qui ont fait par exemple l'objet des célèbres théorèmes d'incomplétude de Gödel, et le problème posé par l'ensemble de tous les ensembles sont le seul et même problème. Et c'est exactement le même problème qui se pose en algèbre des corps sous la question de la non inversibilité de 0, c'est-à-dire donc de la l'impossibilité de division de 1 par 0, ou, ce qui revient exactement au même, de la non solubilité dans R de la simple équation du premier degré à une inconnue : x = x + 1. Elle est vraiment lacunaire, très gravement lacunaire, une science qui résout de grandes équations tensorielles ou différentielles, comme celles de la relativité ou de la mécanique quantique, mais qui ne sait pas résoudre cette simple équation. L'algèbre des nombres réels sans l'inverse de 0 (la parfaite définition de l'Infini), la Théorie des ensembles sans l'Ensemble Plein, et la Théorie des ensembles (ou l'arithmétique) incomplète (au sens de la complétude de la logique mathématique), c'est le seul et même problème ! C'est un problème du bouclage de la notion d'ensemble sur elle-même, de sorte qu'on ne fasse plus de séparation entre la notion d'ensemble au sens de l'axiomatique considérée et la même notion au sens de la métamathématique. En d'autres termes, on ne sépare plus le sens axiomatique et le sens intuitif ou "naïf", comme on le dit souvent et comme je n'aime pas qu'on dise ainsi. Je préfère qu'on dise "natif", car la notion d'ensemble est effectivement très naturelle, très native, très existentielle, très universelle ! La science qui se veut la plus fondamentale qui soit, qui se veut universelle, a obligatoirement comme langage le langage des ensembles. Qu'on n'espère pas faire une théorie ou une science du TOUT, comme les physiciens en rêvent, si cette théorie n'est pas fondamentalement une théorie des ensembles ! J'introduis aujourd'hui dans le monde la Théorie universelle des ensembles, qui est enfin la Science du TOUT ! Et une science digne de ce nom, une science qui traite enfin du TOUT, traite désormais de questions naguère considérées comme des questions hors des frontières de la science. La question de Dieu par exemple, est une question qui ne pouvait pas jusqu'ici être un objet de science. Le problème de Dieu commence par être une question de formulation, de définition d'un être scientifique qui puisse être qualifié de Dieu, d'une manière qui ne laisse plus de place à aucune objection. Par exemple, je peux décider d'appeler Dieu l'Ensemble Plein ou ensemble de tous les ensembles. Mais il ne suffit pas d'appeler Dieu un tel ensemble pour en faire Dieu ! Encore faut-il que les propriétés scientifiques d'un tel être soient telles que tous y reconnaissent la CHOSE appelée de tout temps Dieu ! Dans ses travaux privés (non rendus publics) le logicien Gödel a travaillé sur la question de Dieu, et s'est heurté à ce problème. La chose dont il parle, qu'il démontre, et qu'il appelle Dieu, est-elle vraiment Dieu ?

Un être de très grande importance manque en science. Son nom dans la Théorie des ensembles est l'ensemble de tous les ensembles ou Ensemble Plein, et son nom en algèbre est l'inverse de 0, ou simplement Infini ! Je ne parle pas de la notion d'infini de l'arithmétique transfinie, dans laquelle l'équation x = x + 1 a une "infinité" de solutions. Je parle de l'Infini de l'analyse, défini comme la division dans R de 1 par 0. Cette division est actuellement non définie, et c'est cela le vrai problème de l'Infini. En d'autres termes, le problème n'est pas de savoir que x = x + 1 n'a pas de solution dans l'arithmétique dite finie mais à une infinité de solutions dans l'arithmétique dite transfinie, mais le fond du problème est la séparation des deux arithmétiques, qui est du même ordre que le problème de la séparation des géométries (euclidienne et non euclidienne). C'est tout le problème en général de toutes les séparations, et le mot de séparation par excellence est le NON, le connecteur de négation. Avec ce connecteur, dans son sens et son usage actuel, on sépare X et NON X. La chose qui pose problème et qu'il s'agit maintenant de réformer est la négation, sa conception et sa mise en oeuvre actuelle. Qui réforme la négation réforme la logique, et réforme simplement toute la science et la connaissance ! La solution à tous ces problèmes que j'ai soulevés est aujourd'hui une nouvelle logique scientifique que j'appelle Logique d'Alter (le nouveau connecteur est le mot AUTRE,en latin ALTER), en remplacement de la logique scientifique actuelle que je qualifie de Logique de Non. Une nouvelle notion, l'Alternation, remplace l'actuelle Négation. ALTER est un sur-connecteur de NON, on fait avec l'Alternation tout ce qu'on fait avec la Négation, mais il y a une infinité de choses qu'on peut faire avec l'Alternation mais que l'on ne peut pas faire avec la classique Négation. Par exemple, avec ALTER, on sait maintenant résoudre dans R la simple équation x = x + 1 ! En d'autres termes, l'inverse de 0 est maintenant bien défini dans R ! On fait une théorie des ensembles dans laquelle il y a maintenant l'Ensemble Vide et son inverse l'Ensemble Plein ! Et la théorie des ensembles est désormais complète ! Incroyable mais vrai ! Et cette théorie des ensembles se nomme Théorie universelle des ensembles ou Théorie de l'Universalité (à ne pas confondre avec toute théorie actuellement en circulation et qui porte le même nom, celle-ci est la Théorie universelle des ensembles) !

Je savais que quelque chose ne tournait pas rond dans la manière de résoudre les problèmes de fondement, mais la route qui allait conduire à la solution est très longue. Dès 1998 j'ai commencé une nouvelle théorie des ensembles nommés Théorie des univers, dont l'axiome clef est ce que j'ai nommé l'axiome des univers. Il dit : "Tout ensemble appartient à un univers", et par univers il fallait entendre un ensemble U vérifiant un certain nombres de propriétés, qui font de lui un cadre de théorie des ensembles, autrement un ensemble de tous les ensembles. Ses éléments sont les U-ensembles, et U lui-même n'est pas un U-ensemble. La Théorie des a mûri pour évoluer en 2003 vers une nouvelle théorie des ensembles dont les mots clefs sont chose et ensemble. L'axiome des univers devient alors l'Axiome de Physique qui dit : "Toute chose est un ensemble". Cet axiome est devenu ensuite un Théorème dûment démontré, que je nomme aujourd'hui Théorème de l'Existence, et qui dit la très étonnante chose suivante : "Toute chose est une existence". Incroyable mais vrai, et c'est démontré !

Quand les mathématiques deviennent enfin complètes (au sens de la complétude), les sciences deviennent elles aussi complètes, elles s'unifient toutes dans une seule et même science, cette Théorie de l'Universalité, que je nomme aussi Science de l'Existence, et aussi Science de Dieu ! C'est ce que j'invite aujourd'hui la communauté scientifique à découvrir aux sites Internet : http://hubarfi.site.voila.fr , et http://hubertelie.com et http://xxx.hubertelie.com.

Hubert Abli-Bouyo ou HubertElie.


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